Jene me sens plus Ă  ma place dans ma famille 29 rĂ©ponses / Dernier post : 03/09/2010 Ă  14:54. C. Cho33lr. 11/10/2009 Ă  18:02. Bonsoir, je n'aime pas trop raconter ma vie aux autres mais lĂ  je pense qu'il le faut car je ne sais pas Ă  qui en parler et je me sens vraiment mal. J'ai 18 ans et depuis 2 ans la vie Ă  la maison pour moi est devenue insupportable ! Je suis La vie du solopreneur n’est pas toujours si tranquille qu’on le croit et dans les remous, pour tenir bon, ça aide de se sentir soutenue, surtout par son entourage proche. Il arrive pourtant que ce ne soit pas toujours le cas, et que nous ayons l’impression que notre entourage nous met plus de bĂątons dans les roues qu’autre chose. Intentionnellement ou pas, d’ailleurs ! Alors, comment reconnaitre que votre entourage ne vous soutient pas ? Comment tenir malgrĂ© tout, c’est ce que je vous explique dans cette vidĂ©o issue d’un de mes lives. Et pour celles et ceux qui prĂ©fĂšrent lire On dit que pour rĂ©ussir quand on lance son activitĂ©, on a besoin d’avoir autour de soi un cercle d’environ 10 personnes pour vous soutenir in-con-di-tio-nne-lle-ment. Cela inclus les personnes qui vivent sous le mĂȘme toit que vous ou votre famille proche sachant que les amies peuvent aussi faire partie de vos soutiens mais pas au mĂȘme niveau. Et pourtant il se peut que ce ne soit pas le cas et qu’ils le manifestent de diffĂ©rentes maniĂšres. Et dans ce cas, comment tenir bon ? 1- Ces signes qui vous montrent que votre entourage ne vous soutient pas â˜č Les petites phrases pas si anodines que ça du style quand est-ce que tu te cherches un vrai travail », eh bien, maintenant, tu vas pouvoir te chercher un travail » hey, mais j’en ai un, de travail ! MĂȘme si je dĂ©bute ! ou encore Tu sais, les autres ont du mal, alors tu crois que tu vas pouvoir y arriver ? ». Sous couvert de sollicitude feinte ? sournoise ?, ça aurait plutĂŽt tendance Ă  vous dĂ©courager, non ? â˜č La glaciale indiffĂ©rence dans ce cas, la personne ne montre aucun intĂ©rĂȘt pour votre activitĂ©, elle ne vous pose jamais de question sur ce que vous faites. Limite si elle sait ce que vous faites, d’ailleurs
 â˜č Les bĂątons
 dans les roues au lieu de vous soutenir dans ce cas, la personne en face de vous rajoute une contrainte supplĂ©mentaire Ă  tout ce que vous avez dĂ©jĂ  Ă  faire Non, je ne vais pas pouvoir te dĂ©poser comme prĂ©vu, va falloir que tu te dĂ©brouilles sans moi ». Super
 â˜čLe manque de reconnaissance pour vos compĂ©tences oui, ben, tout ça, tout le monde peut le faire » ou je peux le faire aussi bien que toi ». Ou Ă  la suite d’un tĂ©moignage client c’est parce qu’il a voulu te faire plaisir ». En somme, vous n’ĂȘtes pas capable de faire quelque chose de bien dans votre activitĂ© ! â˜čL’irrespect pour votre travail un peu comme le prĂ©cĂ©dent, mais lĂ , au lieu de dĂ©nigrer vos talents, on vous dĂ©range dans votre travail arrivĂ©e impromptue dans votre bureau alors que vous ĂȘtes en vidĂ©o-confĂ©rence, que vous aviez prĂ©venu et fermĂ© la porte, ou 10 appels + 5 sms alors que vous ĂȘtes en rendez-vous client
 Dans ces 2 derniers cas, le manque de soutien est un peu plus caractĂ©risĂ©, un peu plus frontal. 2- Pourquoi cette attitude ? – Si cela vient de votre ado, sachez que c’est tout Ă  fait normal ! Les ados sont tournĂ©s vers leur monde, et votre entreprise n’en fait pas partie. – Pour les autres, cela oscille entre la jalousie eh oui, mĂȘme dans votre famille ! et la peur que vous preniez trop de place dans la famille, que vous n’attiriez trop de lumiĂšre sur vous. En tout cas, quand les comportements citĂ©s plus haut sont rĂ©currents. 3- Comment tenir malgrĂ© tout ? Evidemment, on aurait envie de dire qu’il vaut mieux fuir ces personnes. Impossible car elles font partie de votre famille
 Dans ce cas, restez lisse, Ă©vitez de parler de votre activitĂ©, de toute façon vous ne recevrez rien de positif. Il vous faudra aller chercher un soutien Ă  l’extĂ©rieur amies, networking, coach
 Utilisez vos chiffres et faites leur dire ce dont vous avez besoin un tu sais, j’ai doublĂ© mon chiffre d’affaires par rapport Ă  l’annĂ©e derniĂšre » est assez radical pour contrer ce manque de soutien et ce, mĂȘme si vos chiffres sont petits ! Pas besoin de claironner le montant, restez gĂ©nĂ©ral
 Restez focalisĂ©e sur vos objectifs et votre vision d’entrepreneur, Ă  la condition que vous les ayez mis par Ă©crit et que vous les ayez rendus concrets pour en faire vos meilleurs alliĂ©s, et les intĂ©grer dans votre cercle de soutien. Je sais que ce n’est pas facile d’avoir Ă©laborĂ© sa vision d’entrepreneur, c’est pour cela que je vous invite Ă  rejoindre mon programme en ligne 5 jours pour mettre un tigre dans votre moteur d’entrepreneur ». GrĂące Ă  ce programme, vous allez crĂ©er une image concrĂšte de votre vision d’entrepreneur, dĂ©finir les actions qui vous permettront de la rĂ©aliser et
 soutenir votre motivation, mĂȘme quand votre entourage vous fait dĂ©faut ! Pour vous en savoir plus sur ce programme en ligne, c’est par ici. Ellel’avoue, presque gĂȘnĂ©e : il ne manque « rien » Ă  son bonheur. Ce n’était pas gagnĂ© pourtant : il y a une dizaine d’annĂ©es, Sara, pas encore animatrice chouchoute des Belges, cherchait sa voie. « J’avais un problĂšme d’image », nous confie-t-elle avec un sourire qui, non, n’est pas feint ! Alors que le succĂšs professionnel est au rendez-vous, c’est sa rĂ©ussite Par pasteur Marc Pernot Question d’un visiteur Bonjour pasteur, je vous contacte car depuis plusieurs annĂ©es, je suis croyant, en Dieu, en JĂ©sus, et je prie, et essaie d’agir au mieux, selon les valeurs que Dieu nous demande de suivre, celles qu’a enseignĂ© le Christ la paix, le pardon, l’amour, le non-jugement, etc
 Je ne me suis jamais vraiment senti Ă  ma place » dans les pratiques religieuses, Ă  part la priĂšre, je n’en ai donc aucune. Je ne suis pas baptisĂ© non plus. Je pense que Dieu ne veut pas nous voir nous forcer » pour pratiquer une religion, mais agir librement, Ă  sa maniĂšre. Selon moi, le plus important aux yeux du PĂšre et pour le Salut n’est pas le fait d’aller Ă  la messe, ĂȘtre baptisĂ©, pratiquer, etc, mais plutĂŽt suivre les valeurs et avoir le comportement qu’il aimerait que l’on ait, car c’est ça qui aura rĂ©ellement un impact sur les autres, sur le monde, sur ses crĂ©ations. J’aimerai savoir si l’on peut quand mĂȘme dire que je suis converti ? Personnellement, j’estime que oui, car chacun Ă  sa façon de pratiquer ou non, mais je peux me tromper. Merci beaucoup. RĂ©ponse d’un pasteur Cher Monsieur Vous avez tout Ă  fait raison de dire que chacun a sa façon de vivre sa foi. Le respecter est bien le minimum. Par dĂ©finition, ĂȘtre chrĂ©tien est avoir un rapport au Christ qui a une certaine importance sur notre façon de vivre et d’évoluer. Il me semble bien que c’est tout Ă  fait votre cas. Par la priĂšre, le j’essaye d’agir au mieux selon les valeurs » inspirĂ©es par cela. Ce sont bien les deux dimensions principales de l’amour de Dieu et l’amour du prochain que JĂ©sus lui-mĂȘme place comme Ă©tant le socle fondamental. La religion est un simple moyen, une salle de musculation pour le dĂ©veloppement de l’humain dans sa dimension spirituelle, thĂ©ologique, biblique, Ă©thique. La religion ne fait donc pas partie de l’essentiel, c’est ce que dit JĂ©sus quand il dit que le Shabbat est fait pour l’humain et non l’humain pour le shabbat Marc 227. C’est comme en ce qui concerne la forme physique, elle demande d’ĂȘtre nourrie, abreuvĂ©e, et exercĂ©e. Ensuite, c’est Ă  chacun de voir ce qui lui convient le mieux comme exercices. JĂ©sus insiste pour dire que c’est vraiment une question intime, privĂ©e Matthieu 6. Certaines personnes vous diront peut-ĂȘtre que tel acte religieux est essentiel, et que sans cela vous n’ĂȘtes pas chrĂ©tien ou un mauvais chrĂ©tien. Tant mieux de voir leur enthousiasme pour leur Ă©glise, mais c’est leur affaire. Et ce n’est certainement pas une excuse pour injurier les autres. Si leur pratique Ă©tait si gĂ©niale, elle devrait leur donner un cƓur qui aime, une intelligence qui respecte, une thĂ©ologie qui honore la transcendance de Dieu, qui est d’un autre ordre que nos exercices religieux Ă  tous. Le baptĂȘme aussi, est un geste pour nous dire que notre personne est importante au yeux de l’univers et de Dieu. C’est un beau geste mais l’important est d’entendre ce que le geste signifie, ce n’est pas le geste en lui-mĂȘme qui est essentiel. Mais comme dit ce proverbe cĂ©lĂšbre Lorsque le sage montre la lune, certains regardent le doigt » j’ai un peu tranbsformĂ© le proverbe afin de ne pas ĂȘtre exagĂ©rĂ©ment injurieux, oups. Donc oui, vous pouvez vous dire chrĂ©tien, converti. Et encore ayant besoin de se convertir, bien sĂ»r, nous avons tous et toutes encore pas mal besoin de cheminer, besoin d’ĂȘtre converti encore par le souffle de l’Esprit, et en aimant . Cela dit, c’est vrai que nous avons besoin, dans l’église, de personnes libres, sincĂšres, et engagĂ©e dans la foi. A l’occasion, Ă  votre rythme, votre participation au culte ou Ă  des groupes d’études thĂ©ologique ou biblique serait une bĂ©nĂ©diction pour d’autres personnes. Mais cela n’a rien d’une condition pour ĂȘtre un bon chrĂ©tien, il y a mil façons de faire avancer le monde, comme vous le dites, et l’essentiel est certainement de faire cela auprĂšs des personnes croisĂ©es dans la vie de tous les jours, en famille, dans son voisinage, au travail ou dans des associations. Grand merci pour votre rĂ©sumĂ©, excellent, de l’essentiel de la foi chrĂ©tienne. Dieu vous bĂ©nit et vous accompagne. par Marc Pernot, pasteur Ă  GenĂšve

Etbien que j’ai toujours vu ma mĂšre tirer les cartes, nous ne parlions pas de ça. Je ne me suis donc jamais sentie connectĂ©e Ă  quoi que ce soit avant mes 25 ans, sauf Ă  ma Gameboy 😂. Ça ne m’intĂ©ressait pas. À tel point qu’en 2010, lorsque j’ai voulu apprendre le yoga, je cherchais un cours aussi terre-Ă -terre que moi.

C’est une phrase frĂ©quemment employĂ©e par les chrĂ©tiens et frĂ©quemment embarrassante pour les pasteurs Je ne me sens pas intĂ©grĂ© Ă  l’Église. Je me sens dĂ©connectĂ© de ce qui se passe. » Le ministĂšre pastoral a pour but de voir tous les chrĂ©tiens grandir, avancer. Et lorsque nous entendons une telle dĂ©claration, le rĂ©flexe est de passer dans le mode rĂ©gler le problĂšme. » Nous essayons mĂȘme, souvent, de mettre en place une structure autour de la personne afin de l’aider Ă  se sentir intĂ©grĂ©e. Et si cela Ă©tait, en fait, inefficace? Et si le problĂšme n’était pas la structure mais l’individu? Et si le manque de connexion que l’on ressent est en rĂ©alitĂ© dĂ» Ă  l’égoĂŻsme?* Se plier en quatre devant l’égocentrisme ne rĂ©sout pas le problĂšme. Il ne fait que l’empirer. Se plier en quatre devant l’égocentrisme ne fait qu’empirer le problĂšme. » Je trouve remarquable que l’Église, lorsqu’elle applique l’Évangile, renonce Ă  elle-mĂȘme dans tous les domaines. D’ailleurs, la plupart des commandements du Nouveau Testament nous appellent Ă  renoncer Ă  nous-mĂȘmes, afin de servir les autres cf. ÉphĂ©siens 4-6. Plan d’action pour se sentir plus connectĂ© dans l’église Voici donc une liste, une aide pour ceux qui dĂ©sirent se sentir connectĂ©s Ă  l’Église.** Priez pour que Dieu vous donne de comprendre son plan pour l’Église, et qu’il vous fasse voir la toute beautĂ© de ce au culte les Ă  3 personnes que vous ne connaissez pas Ă  l’ hospitaliers et ouvrez votre maison Ă  quelqu’ des opportunitĂ©s de servir dans un ministĂšre de l’ pour vos pasteurs, vos anciens, et les autres frĂšres et sƓurs de l’ du Seigneur JĂ©sus aux gens autour de vous et invitez-les Ă  l’ plaisir dans les moyens ordinaires de grĂące prĂ©dication, repas du Seigneur, priĂšre, lectures de la parole, etc
Recommencez la liste. En lisant cette liste, sans doute vous vous ĂȘtes aperçu que dans chaque cas, la difficultĂ© est surmontĂ©e par le service dĂ©sintĂ©ressĂ©. Au lieu de se satisfaire eux-mĂȘmes consumĂ©risme, les croyants sont encouragĂ©s Ă  servir les autres christianisme. Certes, cela peut ĂȘtre parfois inconfortable, mais c’est brillamment biblique, et donc sanctifiant. Un aveu Puis-je vous faire un aveu? Parfois, je ne me sens pas trĂšs connectĂ© Ă  l’Église. Pourtant, je suis pasteur! Mais devinez ce que je fais
 Je travaille sur moi-mĂȘme car, 9 fois sur 10, le problĂšme vient de moi. Et pour cela, j’emploie les moyens ordinaires de grĂące. C’est ce qui me permet de ne plus me focaliser sur ma personne mais sur la personne de Christ. Ils m’aident Ă  me rappeler que l’Église est bien remplie de pĂ©cheurs et que j’en suis un aussi. Le chemin vers l’avant est celui du service dans l’humilitĂ©. Dieu sait ce qu’il fait avec et Ă  travers l’Église. Nous devons lui faire confiance, et, bien souvent, nous mettre au travail. Si vous vous sentez dĂ©connectĂ©, ou ĂȘtes en train de conseiller ceux qui se sentent ainsi, je vous lance le dĂ©fi de vous saisir honnĂȘtement de cette liste. Je pense que cela fera l’affaire. *Je rĂ©alise tout Ă  fait qu’il peut y avoir des problĂšmes lĂ©gitimes dans les Églises, Ă  tel point que de fidĂšles chrĂ©tiens se sentent dĂ©connectĂ©s. Et je ne minimise pas le fait que des pasteurs puissent conduire des assemblĂ©es Ă  ĂȘtre des communautĂ©s cohĂ©rentes. Cet article se concentre uniquement sur des cas individuels. ** Cette liste prĂ©suppose d’ĂȘtre en accord thĂ©ologiquement et philosophiquement avec l’Église. Merci Ă  pour la traduction. 9 conseils pour ceux qui se sentent pas intĂ©grĂ©s dans l’Église a Ă©tĂ© traduit avec la permission de l’auteur.
DĂšsle Bac 😂 dĂ©jĂ  avec mon M2 je ne me sentais pas Ă  ma place. Mais c'est bien, ça justifiera le dĂ©classement en CatĂ©gorie B et du coup les bas salaires. D'une pierre, deux coups, chapeau Manu! 25 Aug 2022 09:39:23
ï»żHĂ©ros de la musique Ă©lectronique et de la French Touch, c’est pour une raison tout Ă  fait diffĂ©rente que nous avons rencontrĂ© Boombass. En effet, lors de son passage aux Francofolies de La Rochelle, nous avons discutĂ© avec l’artiste de son roman, Boombass une histoire de La French Touch. L’occasion de revenir sur la crĂ©ation de son livre, mais aussi de parler de son futur dans la musique. LFB Eh bien du coup, bonjour Hubert ! Boombass Eh bien bonjour ! LFB La premiĂšre question que je pose toujours aux gens, c’est comment ça va ? Boombass Ecoute, je vais trĂšs bien. Donc c’est plutĂŽt cool. Petite fatigue de dĂ©mĂ©nagement, mais sinon ça va trĂšs bien. LFB On est lĂ  pour parler de littĂ©rature. Boombass Ah, ben tant mieux ! LFB Et du coup, je me demandais comment Ă©tait venue l’envie de ce livre que tu as sorti l’annĂ©e derniĂšre ? Boombass Eh bien
 Alors, ça je ne l’ai su un peu plus tard, mais je pense que depuis que je suis mĂŽme, je suis un lecteur. Je ne suis pas un Ă©norme lecteur, on va dire, mais j’ai toujours lu des bouquins, des livres. Et en fait, mes premiers Ă©mois, ça devait ĂȘtre La BibliothĂšque Rose, ou Le Club des 5, c’était des trucs, bon, qui datent maintenant, mais de mon Ă©poque, et en fait je me souviens, en ayant eu ces livres, que j’ai toujours eu envie de
 je me suis toujours dit que j’aimerais bien raconter des aventures. Et puis aprĂšs, la musique a pris le dessus, et je n’ai jamais osĂ© en fait me lancer. Et il y a quatre ans ou cinq ans, c’est une copine qui m’a dit un jour, comme ça Tu m’as parlĂ© un jour de musique, c’était hyper bien, tu devrais peut-ĂȘtre Ă©crire sur la musique ». Mon oncle a Ă©crit des livres de musique et tout, je me suis dit tiens, peut-ĂȘtre que je pourrais parler de musique, et puis j’ai commencĂ© Ă  faire
 J’ai vraiment Ă©crit de la merde pendant un an, sans queue ni tĂȘte en fait , et au bout d’un moment est venue cette idĂ©e, en me disant Mais en fait, je vais raconter tout ce parcours. Il y a peut-ĂȘtre un truc Ă  faire ». Tout ça, ça s’est fait sur quatre ans. Et au bout de trois ans, j’avais la matiĂšre, mais je n’avais pas de fin. Au bout d’un moment, j’ai arrĂȘtĂ©, en me disait mais en fait, ça n’a aucun sens, lĂ  j’arrive, on est en plein, on Ă©tait en train d’enregistrer Dreams, ça devient un journal de bord, etc. Et puis avec la catastrophe qui s’est passĂ©e avec la mort de Philippe, en fait tout d’un coup, Ă©trangement
 vraiment pour le coup, parce que c’était commencĂ© bien avant, Ă©trangement ce livre avait un sens, pour moi, pour nous et pour notre histoire musicale. J’aurais pu me passer de ça et ne pas le sortir. Mais bon, la vie a fait que c’était comme ça, et ça a donnĂ© un sens Ă  tout ça. LFB Moi, quand j’avais Ă©crit la chronique du livre, j’avais dit que pour moi, le titre du livre, Ă©tait un peu en trompe l’oeil, parce que plus qu’une histoire de French Touch, pour moi, c’était une histoire intime de la French Touch en fait. C’était ton histoire Ă  toi. Boombass C’est vrai . Alors, ce n’est pas moi qui ai eu l’idĂ©e. Je l’assume totalement, mais
 En fait, moi je voulais que ça s’appelle Boombass au dĂ©part, et mon Ă©ditrice m’a dit Boombass, c’est quand mĂȘme hyper
 spĂ©, quelque part ». Alors, elle me dit, on devrait mettre Une histoire de la French Touch ». Mais effectivement, c’est une super idĂ©e, ça aurait Ă©tĂ© bien une histoire intime ». Je ne regrette de pas
 Mais c’était pour mettre une flĂšche. Ca m’a un peu gĂȘnĂ© au dĂ©but, et puis aprĂšs, je me suis dit j’ai tellement travaillĂ©, j’ai tellement donnĂ©, je vais lui faire confiance. Et on m’en a souvent parlĂ©, effectivement, et Ă  chaque fois, j’explique ça, en disant Ouais, mais c’est un peu comme un sous-titre, pour celui qui saurait pas, mais que ça pourrait intĂ©resser ». Et ça a fait son
 ça a eu cet effet. LFB Et c’est drĂŽle, parce que ça m’a fait un peu penser au livre qui est sorti rĂ©cemment, Daft. Si on le lit le titre, on se dit ça va parler de la French Touch, l’autre on se dit ça va parler de Daft. Et en fait, l’un comme l’autre, c’est un peu, une sorte de mosaĂŻque, et des personnages secondaires en fait, qui apparaissent au fur et Ă  mesure, mais la vraie histoire, c’est ton histoire Ă  toi, et j’ai l’impression que quand on lit le livre, ta vie ça a Ă©tĂ© un peu une succession d’heureux accidents en fait. Boombass Ouais, c’est ce que ça m’a fait en fait. Parce que je t’avoue que je n’ai jamais
 Enfin, je pense que tout le monde, on ne doit pas ĂȘtre nombreux, je ne vois pas qui pense Ă  sa vie en
 Personne ne va s’asseoir Ă  un cafĂ© en se disant Ah ouais, quand j’avais sept ans
 » A la rigueur, tu racontes une histoire Ă  un pote ou Ă  une copine, prĂ©cise, mais tu ne fais pas le bilan de ta vie comme ça ! rires. Et lĂ , c’est devenu un
 Attends, qu’est-ce que tu disais ? LFB Une succession d’heureux accidents. Boombass Oui, et j’ai rĂ©alisĂ© qu’en fait, Ă  chaque fois, je pense qu’on a peut-ĂȘtre tous ça, c’est-Ă -dire j’ai cette image oĂč il y a des portes. On va dire deux portes. Ce n’est pas rĂ©gulier, mais dans ta vie, tu as plusieurs fois un moment oĂč tu te dis Tiens, si j’ouvrais celle-lĂ  ou celle-lĂ  ? » Et puis tu ouvres celle-lĂ , tu suis, et aprĂšs, je pense qu’on provoque quand mĂȘme un petit peu ces Ă©vĂšnements. Mais il y a quand mĂȘme eu, enfin, j’ai eu la chance
 Et en fait, tout Ă  l’heure j’étais avec Didier Varrod et lui m’a dit Tu as eu des tuteurs ». Il disait que Manouchian lui avait appris la musique avec des professeurs et aprĂšs avait fait son truc, et c’est vrai que
 Moi, j’ai eu des tuteurs. Avec Philippe, on a eu des rencontres comme ça, qui Ă  chaque fois ont ouvert ces portes, ou ont fait la marche de l’escalier en plus qui fait que t’avances. Et je pense que c’est le propre de beaucoup d’artistes en fait. Souvent, on ramĂšne Ă  nous l’Ɠuvre etc., mais c’est quand mĂȘme le fruit de rencontres avec plusieurs personnes. LFB En fait, quand on lit le livre, moi, je me suis ressenti comme un spectateur de tout ça, de ce que tu racontais. Et ce qu’il y a de marrant, c’est qu’on te voit toi vivre la musique de l’extĂ©rieur, avec la part directeur artistique, dĂ©couvreur, et ensuite la vivre de l’intĂ©rieur. Boombass C’est vrai. Parce que mon but au dĂ©part, c’était d’ĂȘtre musicien. En fait, je rĂȘvais d’ĂȘtre batteur de Michael Jackson. Mais vraiment, quoi. Mais bon, d’un Michael Jackson qui existerait quand je serais Ă  ce moment-lĂ . Et en fait je voulais vraiment ĂȘtre musicien et homme de studio. Et aprĂšs, je faisais chier mon pĂšre en disant Mais je ne comprends pas, pourquoi personne m’appelle pour ĂȘtre producteur »  J’avais dix-sept ans. Et il me dit Ben parce que ça se passe pas comme ça, hein, faut apprendre, qu’on sache qui tu es, tu dois apprendre les bases, et
 Moi, Ă  ta place
 Enfin, je pense qu’il faut que tu mettes les pieds dans un studio ». Donc j’ai commencĂ© d’abord dans un studio, et aprĂšs dans une maison de disques, ce qui est une chance incroyable. Bon, le studio, c’était directement sa vie, donc c’était plus facile, et la maison de disques, c’était grĂące Ă  un pote. Et en fait j’ai pu voir l’arriĂšre du dĂ©cor aussi professionnel, qu’il ne faut pas sous-estimer, puisque que c’est celui, quand t’es artiste, qui va t’accompagner – c’est-Ă -dire la maison de disques, le studio, le management etc. Tu es suivi toute ta vie par ça, donc ce n’est pas mal de connaĂźtre un petit peu la philosophie gĂ©nĂ©rale, quoi. LFB Et puis on revit une Ă©poque de la musique oĂč on Ă©tait dans un faste fou, avec des fĂȘtes Ă©normes
 Boombass Ouais . C’est-Ă -dire que les maisons de disques dĂ©pensaient Ă©normĂ©ment d’argent Ă  cette Ă©poque-lĂ  sur la sortie d’un disque auquel elles croyaient. Mais en gagnaient Ă©normĂ©ment aussi. C’était pour ça. LFB Et justement, question un peu bĂȘte, mais un peu drĂŽle aussi avec toutes les fĂȘtes et tous les excĂšs que ça implique, ça a pas Ă©tĂ© trop difficile de se souvenir de tout ? Boombass Et ben non, figure toi. J’ai beaucoup de photos, de famille, de studio etc., donc j’ai beaucoup regardĂ© de photos, j’avais quelques vidĂ©os pour resituer, mais aprĂšs, je me suis dit je vais faire, Ă  risque, confiance dans ma mĂ©moire. Et je sais qu’il y a certaines choses qui se sont pas passĂ©es comme ça. Mais que tu traduis
 C’est un peu comme tes vacances avec tes potes, tu vas raconter Tu te rappelles, c’est gĂ©nial, quand il y a eu ça et qu’on s’est Ă©clatĂ©s ? », et l’autre rĂ©pond Je ne sais pas, moi je me suis fait chier 
 Je suis content de ce que tu m’as dit, parce que j’avais envie que le lecteur soit spectateur d’une sorte d’aventure, qui a eue lieu, mais est-ce que tout vraiment s’est passĂ© comme ça ? Moi en fait je l’ai enrobĂ© Ă  ma façon de mon souvenir. Par exemple, ma mĂšre m’avait dit
 A un moment dans le bouquin, je crois que je l’ai changĂ© aprĂšs, mais sur une des versions, j’avais dit que c’était mes parents qui Ă©taient venus me voir en me disant Tu devrais arrĂȘter l’école pour la musique », et lĂ , je dis ça Ă  ma mĂšre, qui me dit Mais jamais de la vie, c’est toi qui nous a harcelĂ©s
 ». Et j’avais, j’étais intimement convaincu que c’était une idĂ©e de ma mĂšre. LFB D’oĂč l’idĂ©e d’histoire intime, en fait, vraiment,et de presque auto-fiction Ă  certains moments. Boombass Exactement. Auto-fiction involontaire, mais liĂ©e Ă  ton souvenir, qui je pense amĂšne ce petit cĂŽté  j’espĂšre, un peu livre. Pas juste tĂ©moignage journalistique d’une Ă©poque, tu vois. LFB Oui, mais c’est ça qui est passionnant aussi, c’est ça aussi qui fait que c’est un page-turner » . Quand on rentre dans le livre, en fait, on n’a pas envie de le quitter. Boombass Ah ben c’est trop bien. C’est pour ça que ça m’a pris beaucoup de temps, je me suis dit tant qu’il fera pas cet effet-lĂ , qu’il me fera pas cet effet-lĂ , ce n’est pas bon. LFB Et du coup, la question se pose, c’est est-ce qu’on apprend Ă  Ă©crire comme on apprend la musique ? Et est-ce que tu as envisagĂ© le livre comme on envisage une chanson, avec des drops, des moments plus calmes ? Boombass Alors, ça, oui. Il y a eu plusieurs pĂ©riodes. Il y a eu une premiĂšre pĂ©riode oĂč
 Et c’est trĂšs trĂšs proche, mais vraiment, trĂšs trĂšs proche de la musique dans une certaine direction. Et radicalement diffĂ©rent, parce que lĂ  tu mets des mots, et tu n’écris pas non plus une chanson, tu n’écris pas des paroles, et tu dois captiver. LĂ  oĂč t’es proche de la musique, c’est que tu sais que tu vas avoir, non pas un auditeur, mais un lecteur, donc c’est encore pire qu’un auditeur, parce que ce n’est pas du tout passif, la lecture. Si au bout de trois pages, tu t’ennuies, moi je le ferme le livre. LFB Pareil. Boombass Tout le monde, personne s’oblige à
 Non, je vais le lire jusqu’à la fin alors que c’est chiant » ! Alors qu’un disque, tu peux
 bon, tu te lĂšves, tu peux faire trois SMS, Oh, il est bien ce morceau ! », c’est trĂšs diffĂ©rent. Et oui, j’ai appris. Alors, le fait, c’est que j’ai fait comme la musique, comme j’ai quand mĂȘme pas mal lu. Je ne suis pas non plus un lecteur fou, mais j’ai lu plus que la moyenne. Je me suis nourri de tout ce qui a pu me servir, comme en musique, oĂč je me suis nourri des disques que j’ai Ă©coutĂ©s. Mais il a fallu apprendre. Alors j’avais un BLED, j’avais tous les trucs de grammaire, parce qu’à l’école, j’étais un cancre, et Ă  un moment, au bout de trente pages
 Pendant trente pages, tu te dis Ah, ben ça va ! ». D’écrire. Puis aprĂšs, tu relis cinquante pages, tu te dis Putain, le vocabulaire, la grammaire, lĂ  ça tourne en rond
 » LFB Les synonymes ! Boombass Les synonymes
 Tu dis 47 fois je », 37 fois ça, tu as mis de l’imparfait avec du plus-que parfait, c’est horrible. Tout ça
 Donc voilĂ , il y a eu une annĂ©e en fait de scolaritĂ© forcĂ©e rires, mais qui est gĂ©niale, qui m’a fait super tripper, et pendant laquelle j’étais dans le travail de mĂ©moire aussi quoi. LFB C’est comme apprendre le solfĂšge en fait quoi. Boombass C’est pareil en fait, c’est-Ă -dire qu’à un moment, tu te dis que c’est bizarre ton morceau, tu passes de sol mineur Ă  un truc majeur et c’est inĂ©coutable, mais parce qu’en fait, c’est des temps, etc. Donc il y a une grammaire musicale, et il y a une grammaire française, Ă©videmment. Donc il y a eu, ouais, une bonne annĂ©e d’apprentissage, de se remettre la tĂȘte lĂ -dedans. AprĂšs, j’ai une copine qui m’a quand mĂȘme pas mal aidĂ©. Pour des choses de structure, ou
 Parce que plus tu as de pages, et plus tu dĂ©couvres que c’est bien d’avoir un Ɠil extĂ©rieur qui te dit Mais lĂ , on s’emmerde, lĂ  c’est bien ». Et aprĂšs tu comprends, et donc voilĂ , c’est vrai que ça a Ă©tĂ© aussi long, mais passionnant. LFB Mais du coup, ça fait un peu
 On passe de la musique Ă  l’écriture, Ă  du montage de cinĂ©ma, quoi. Boombass La derniĂšre phase, c’était vraiment gĂ©nial On Ă©tait tous enfermĂ©s, lĂ . C’est qu’au dĂ©part, tout le livre Ă©tait Ă  l’imparfait, plus-que-parfait
 Genre un peu littĂ©raire. Et hyper chiant. Parce que je ne suis pas Proust, ni Romain Gary, quoi. Et en fait, Ă  un moment, j’ai regardĂ© ce film, qui s’appelle 1917, qui est un long plan sĂ©quence. Je l’ai vu deux fois, en me disant mais c’est ça que je dois faire, en fait. Un plan sĂ©quence. J’aimerais rĂ©ussir Ă  ce que tu commences le bouquin, et en fait t’avances dans le temps
 Et je me suis dit le prĂ©sent, c’est gĂ©nial ! LFB Et puis ça donne du rythme, en plus. Boombass J’ai tout réécrit. J’ai tout réécrit au prĂ©sent, et fait ce truc de montage lĂ , que deux copines m’avaient dit, et lĂ , je me suis Ă©clatĂ©. LĂ , c’était le meilleur moment du bouquin, c’est de couper, de mettre, de dire Ah ouais, lĂ  c’est cool ». Et lĂ , c’est trĂšs proche de la musique, quand t’as sept maquettes de quarante minutes, et que tu te dis Attends, lĂ , il est oĂč le refrain, il est oĂč le truc ? ». C’est vraiment passionnant. LFB Et du coup, on en parlait un peu tout-Ă -l’heure, mais il y a eu cet Ă©vĂšnement dramatique, type rupture, un peu. Boombass Ouais. Alors ça, c’était compliquĂ©. LFB Est-ce que le livre t’a permis un peu de
 clĂŽturer ce chapitre de ta vie, te soigner ? Boombass Ben totalement. C’est tellement incroyable, d’avoir lancĂ© ça, parce que j’aurais Ă©tĂ© totalement incapable d’écrire ce livre maintenant. Jamais de la vie je n’aurais pu me replonger
 Si, en m’auto-centrant, mais je veux dire, l’idĂ©e, c’était de raconter ce qu’on vivait. Mais au-delĂ  de ça, effectivement, ça m’a
 je ne sais pas si c’est forcĂ©ment beau comme terme, mais je pense avoir gagnĂ© du temps sur la guĂ©rison. Parce qu’une bonne partie, je m’étais dĂ©jĂ  plongĂ© dedans, en fait je n’ai eu qu’à pleurer, si on peut dire, pendant deux ans. Mais tout est
 C’est assez incroyable. C’était Ă©crit en fait, pour moi, et encore, bien sĂ»r, il n’y a pas tout, mais j’avais dĂ©jà
 Donc ouais, pour rĂ©pondre Ă  ta question, ça a Ă©tĂ© vraiment une guĂ©rison, une aide Ă  la guĂ©rison, et hyper saine, puisque que c’était antĂ©cĂ©dent. Mais mĂȘme si je pense qu’à quiconque ça arrive, si tu as la force de te mettre dedans, ça peut aider d’écrire. MĂȘme si tu n’as pas une vie musicale, mais on s’en fout. MĂȘme si tu ne lesors pas. C’est de mettre les mots, quoi. LFB Ouais, de verbaliser. Boombass Verbaliser, en fait, ça Ă©vite une psy, ouais. LFB Et est-ce que ça t’a aussi donnĂ© envie de retourner vers la musique ? Boombass Ah oui, ça, je ne l’ai pas perdu. C’est le premier truc que j’ai fait. C’est que je me suis retrouvĂ© dans une situation hyper Ă©gocentrique, en me disant je suis tout-Ă -fait capable de le faire tout seul, je suis hyper bon. Et j’ai fait un album que je ne sortirai pas, j’ai fait plein de musique en les aboutissant, en les finissant, en allant jusqu’au bout, pour me rappeler
 Un peu comme si tu perds la femme de ta vie ou si tu perds l’homme de ta vie, tout d’un coup, tu te dis Mais je sais faire Ă  manger, je sais tenir une maison, je sais partir en vacances
 Je sais faire tout ça tout seul ». LFB Et du coup, le Boombass » de la musique, ça va ĂȘtre Boombass », Hubert », ou ça va ĂȘtre quelque chose de complĂštement diffĂ©rent sur le futur ? Boombass Alors ça, c’est une bonne question. Mais je me demande
 je pense qu’il faut que je reste Boombass, dans le sens oĂč
 Je ne peux pas ĂȘtre Cassius, ça n’a aucun sens, on Ă©tait deux et rĂ©ellement deux. Ce n’est pas comme si il y en avait un qui Ă©tait sbire et qui pouvait tout faire tout seul et vice versa, donc ça, ça n’a aucun sens. J’ai hyper envie. On a beaucoup de belles choses, donc je pense que je prĂ©parerai un truc, je ne sais quand, pour clĂŽturer Cassius d’une belle façon. Mais je vais rester sous le nom de Boombass, parce que par contre, ce que je sais, c’est que c’est dĂ©jĂ  compliquĂ© de changer
 d’exister sous ce nom-lĂ , si je rechange aprĂšs, Ă  moins d’avoir fait un disque avec 6000 tubes, mais ce n’est pas du tout le but de ce que je veux faire
 Je vais rester sous le nom de Boombass. LFB Et justement, pour rester un peu sur la musique, moi j’ai adorĂ© ton remix de Bandit Bandit. Boombass C’est vrai ? Trop cool ! Moi aussi j’adore ! LFB Ouais, je l’ai trouvĂ© hyper
 Limite cauchemardesque. Boombass Il est cauchemardesque. Effectivement, ouais. LFB Et du coup je me demandais, comment est-ce que tu vois ces nouveaux artistes qui arrivent dans la musique et qui mĂ©langent un peu les genres, et qui s’autorisent justement Ă  faire ce genre de choses, et comment tu choisis tes remixes ? Boombass Eh ben fait, moi je vois ça trĂšs bien. En fait
 j’ai et on a fait notre carriĂšre sur le mĂ©lange, la mixitĂ© des cultures, ma famille est mixte
 Enfin tout ça, moi j’adore le mĂ©lange. Ca ne veut pas dire que c’est mieux, mais j’adore ça. Et je trouve ça super qu’aujourd’hui, justement la culture Ă©lectronique se mĂ©lange au retour du grunge, qui va se mĂ©langer Ă  la techno Ă  150 de tempo. Tout se mĂ©lange. AprĂšs, tout n’est pas bien, mais je veux dire, il sortira forcĂ©ment des choses importantes de toutes ces choses-lĂ . Donc moi, lĂ -dedans, je suis Ă  fond. Et aprĂšs, tu me demandais quoi, pardon ? LFB Comment tu choisissais tes remixes justement. Boombass Ah. Comment je choisis mes remixes, c’est assez simple. En gĂ©nĂ©ral, je reçois une dĂ©mo, j’écoute trente secondes. S’il y a une voix, je me dis si la voix est cool, et lĂ , j’adorais la voix, je me suis dit wow, il y a un truc Ă  faire, je l’ai pris. Et quand c’est des trucs instrus, si j’aime bien la personne, des fois je n’écoute mĂȘme pas le morceau. Je dis envoie-moi les trucs, et je vois s’il y a un truc que je pioche dedans
 LFB Et j’ai une derniĂšre question est-ce que t’aurais des coups de coeur Ă  nous partager, en musique, en films, en livres, des choses qui t’ont marquĂ© rĂ©cemment ? Boombass Ouais, en musique, lĂ  je suis en train de
 Je vais prendre Spotify,. J’écoute plein plein de trucs, hyper instrumentaux. Et il y a un mec que j’adore. Enfin, je dis un mec, c’est peut-ĂȘtre un groupe, c’est peut-ĂȘtre une fille d’ailleurs. C’est Felbn. Il fait des trucs instrus hyper cools, pas hyper connus, tu vois. Ça, c’est mon coup de coeur cette semaine, tu verras, il y a des trucs
 C’est trĂšs organique. Instru, mais vraiment dans le
 le matin, lĂ  j’écoutais ça dans le train, c’est hyper cool. Et c’est une direction en fait, pas lui spĂ©cialement, mais cette musique instrumentale, des fois sans beat et tout, c’est vraiment la direction que je vais prendre, lĂ . La musique pour kiffer, en fait. LFB Ouais. C’est important. Boombass J’adore le DJ, mais quand je dis que je suis trop vieux, c’est que je ne me sens plus Ă  ma place. Non pas par ringardise, mais je veux dire, ça fait trente ans que j’en ai fait. Alors par contre, faire kiffer chez soi, j’adore l’idĂ©e. LFB Et tu te verrais revenir avec un groupe ? Boombass Ah ça
 Je pense que ce sera le prochain truc. C’est que dĂšs que j’ai la musique, je vais monter un super groupe. LFB Eh ben on a hĂąte. Boombass En fait un groupe de gĂ©nies, et moi je voudrais faire le chef d’orchestre. Un peu comme quand Miles Davis faisait ses derniers concerts, tu sais, il faisait cinq minutes de solo, puis aprĂšs il dirigeait tous les autres. Sans comparaison avec Miles Davis. LFB J’ai hĂąte de voir ça. Ben Ă©coute, merci beaucoup. Boombass Merci, c’est moi. Retrouvez notre chronique du livre de Boombass par ici
Jene me sens bien, au fond, que dans des lieux oĂč je ne suis pas Ă  ma place. d'aprĂšs Yves Charnet (Lettres Ă  Juan Bautista) Adaptation Arnaud Agnel: CrĂ©ation le 5 septembre 2019 : Théùtre d'Arles (Arles) Mise en scĂšne: Arnaud Agnel; InterprĂ©tation : Arnaud Agnel; Voix off: Philippe CaubĂšre; LumiĂšres: Élise Riegel; Son: Yann le Floch [2022] RĂ©gie gĂ©nĂ©rale:
International Guerre en Ukraine Rafael Mariano Grossi On ne peut pas ajouter au drame de cette guerre un accident nuclĂ©aire » Le directeur gĂ©nĂ©ral de l’Agence internationale de l’énergie atomique espĂšre pouvoir se rendre trĂšs prochainement sur le site, occupĂ© par les Russes. Read in English Article rĂ©servĂ© aux abonnĂ©s AprĂšs avoir rencontrĂ© des responsables russes Ă  Istanbul, le directeur gĂ©nĂ©ral de l’Agence internationale de l’énergie atomique AIEA, Rafael Mariano Grossi, Ă©tait Ă  Paris, jeudi 25 aoĂ»t, pour discuter avec Emmanuel Macron de sa future visite, probable », sur le site de la centrale nuclĂ©aire de Zaporijia, en Ukraine. Une mission dĂ©licate, explique-t-il dans un entretien au Monde, alors que la sĂ»retĂ© de la plus grande centrale d’Europe est mise Ă  mal par la guerre. Lire aussi Guerre en Ukraine Le personnel de la centrale de Zaporijia est Ă©puisĂ© et travaille dans des conditions trĂšs difficiles, ce qui augmente le risque d’erreur humaine » Vous ĂȘtes optimiste quant au fait de pouvoir aller rapidement Ă  Zaporijia. Tous les obstacles Ă  cette mission sont-ils levĂ©s ? Il y a des enjeux politiques, techniques et logistiques Ă  cette visite. Au niveau politique, auparavant, tout le monde n’était pas alignĂ©. Il y a d’abord eu des objections du cĂŽtĂ© ukrainien, puis du cĂŽtĂ© russe
 Mais, depuis mon intervention au Conseil de sĂ©curitĂ© des Nations unies, le 11 aoĂ»t, j’ai senti une impulsion nouvelle. Ce jour-lĂ , les quinze membres du Conseil et l’Ukraine ont pris la parole. Et tous ont fini par se mettre d’accord, en dĂ©pit des diffĂ©rences politiques Ă©videntes et des accusations mutuelles, quant Ă  la nĂ©cessitĂ© de ce dĂ©placement de l’agence en Ukraine. La communautĂ© internationale a compris que le risque Ă©tait trop important on ne peut pas ajouter au drame de cette guerre un accident nuclĂ©aire. Lire aussi Article rĂ©servĂ© Ă  nos abonnĂ©s Guerre en Ukraine la centrale nuclĂ©aire de Zaporijia frĂŽle de nouveau la catastrophe Reste des questions de logistique. C’est un long trajet, l’Ukraine est vaste et il faut la traverser dans des conditions de sĂ©curitĂ© qui ne sont pas idĂ©ales. Nous n’avons pas de blindĂ©s, nous devons compter sur l’appui des vĂ©hicules des Nations unies
 C’est une opĂ©ration oĂč les forces militaires des deux camps doivent travailler ensemble Ă  un moment donnĂ©, par la force des choses, nous passerons des mains ukrainiennes aux mains russes, qui contrĂŽlent Zaporijia. Il nous faut donc des garanties de sĂ©curitĂ©. Par ailleurs, mon intention est qu’aprĂšs cette mission, des experts de l’agence puissent rester en permanence Ă  Zaporijia, et je travaille Ă  un accord en ce sens. A quoi cette mission peut-elle servir ? Elle vise la sĂ©curitĂ© et la sĂ»retĂ© de l’installation, c’est-Ă -dire son fonctionnement normal et sans entrave. Nous commencerons par un Ă©tat des lieux de la situation avant de rĂ©parer l’essentiel, de remettre en route les systĂšmes de transmission qui ont Ă©tĂ© endommagĂ©s. Nous allons Ă©galement inspecter les piscines d’entreposage du combustible usĂ© et nous attaquer Ă  la question sensible de l’approvisionnement en Ă©lectricitĂ©, qui est indispensable au refroidissement des rĂ©acteurs. C’est un problĂšme rĂ©current depuis le dĂ©but des opĂ©rations militaires. L’accident de [la centrale nuclĂ©aire de] Fukushima [au Japon, en 2011] a d’ailleurs eu lieu parce qu’il n’y avait plus de systĂšme de refroidissement. Il vous reste de cet article Ă  lire. La suite est rĂ©servĂ©e aux abonnĂ©s. Vous pouvez lire Le Monde sur un seul appareil Ă  la fois Ce message s’affichera sur l’autre appareil. DĂ©couvrir les offres multicomptes Parce qu’une autre personne ou vous est en train de lire Le Monde avec ce compte sur un autre appareil. Vous ne pouvez lire Le Monde que sur un seul appareil Ă  la fois ordinateur, tĂ©lĂ©phone ou tablette. Comment ne plus voir ce message ? En cliquant sur » et en vous assurant que vous ĂȘtes la seule personne Ă  consulter Le Monde avec ce compte. Que se passera-t-il si vous continuez Ă  lire ici ? Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Ce dernier restera connectĂ© avec ce compte. Y a-t-il d’autres limites ? Non. Vous pouvez vous connecter avec votre compte sur autant d’appareils que vous le souhaitez, mais en les utilisant Ă  des moments diffĂ©rents. Vous ignorez qui est l’autre personne ? Nous vous conseillons de modifier votre mot de passe.
Neratez plus une info foot, rugby, tennis, basket : abonnez vous au flux rss de Sportinfozz ! DubiĂ© : « Je ne me sentais pas Ă  ma place lors d’un rassemblement avec l’équipe de France » ActualitĂ© Rugby du 09 dĂ©cembre 2021 @ 1:30
Salut Ă  tous !Je suis dans une situation assez compliquĂ©e et je ne sais plus vraiment ce que je peux faire. J'aimerais avoir un maximum de conseils. Je vais tenter de vous rĂ©sumer le truc. Merci d'avance Ă  ceux qui prendront le temps de lire. Donc actuellement je suis en seconde annĂ©e de BTS Services informatiques aux organisations, en spĂ©cialitĂ© dĂ©veloppement il y a deux spĂ©s, dĂ©v ou rĂ©seau. J'ai donc intĂ©grĂ© ce BTS aprĂšs avoir passĂ© un bac STI2D. Malheureusement tout ne s'est pas dĂ©roulĂ© comme prĂ©vu il se trouve que mon parcours en STI puis en SIO a Ă©tĂ© une suite de dĂ©sillusions et d'Ă©checs multiples. À l'heure actuelle la situation devient critique et l'impact sur mon Ă©tat moral, confiance en moi... commence Ă  ĂȘtre par le commencement. J'en suis venu Ă  faire ce bac spĂ© SIN et puis par la suite SIO parce qu'Ă  ce moment-lĂ  je me disais que je voulais faire de l'informatique du dĂ©veloppement Web notamment. En fait je suis passionnĂ© par l'informatique depuis que je suis petit, et je me suis jamais vraiment posĂ© de question sur mon avenir. Pour moi c'Ă©tait Ă©vident que ça allait ĂȘtre dans ce domaine. Je m'intĂ©resse Ă  beaucoup de domaines diffĂ©rents et celui-ci prĂ©domine un peu sur tout le il se trouve qu'Ă  l'Ă©cole j'ai toujours Ă©tĂ© quelqu'un de littĂ©raire. Et en fait, les matiĂšres scientifiques et les concepts abstraits/thĂ©oriques de façon plus gĂ©nĂ©rale, particuliĂšrement les mathĂ©matiques, sont depuis toujours totalement abstraites et incomprĂ©hensibles pour moi. J'ai un gros blocage avec ça depuis la nuit des temps. Pour donner l'exemple des maths, mon cerveau n'arrive pas Ă  en tirer quoi que ce soit, mĂȘme certains concepts pourtant jugĂ©s trĂšs simples. Le souci a commencĂ© Ă  se prĂ©senter de maniĂšre sĂ©rieuse vers le CM2, puis par la suite ça n'a Ă©tĂ© qu'une dĂ©gringolade jusqu'Ă  ce que j'atteigne le nĂ©ant. Travailler n'y change malheureusement pas grand chose mĂȘme si c'est un petit peu moins pire ces derniĂšres annĂ©es sur deux-trois notions de maths. À l'inverse, j'ai toujours Ă©tĂ© trĂšs Ă  l'aise dans les disciplines plus littĂ©raires, et j'ai toujours particuliĂšrement apprĂ©ciĂ© celles-ci. Le français mais aussi les langues, l'histoire-gĂ©o ou la si vous ne connaissez pas le programme de STI2D, il faut savoir que celui-ci est composĂ© presque exclusivement d'enseignements thĂ©oriques et surtout de mathĂ©matiques on en fait absolument partout, tout le temps. Cette filliĂšre n'offre quasiment aucune place pour le concret, tout se base sur des formules et des schĂ©mas il n'y a mĂȘme pas de programmation, ou trĂšs peu, bref c'en est effrayant. En allant en STI2D je m'attendais Ă  faire de l'informatique et de l'Ă©lectronique. On m'a vendu du rĂȘve ; tout ça pour qu'au final je me retrouve dans une classe remplie de Jean-Matheux oĂč j'Ă©tais loin derriĂšre, Ă  contempler mes schĂ©mas Ă©lectriques et autres formules en me demandant quand est-ce qu'on ferait - enfin - un peu d'informatique. SpoilAfficherMasquerÇa n'est pas exclusif Ă  la STI2D, je me suis rendu compte au fil des annĂ©es que l'enseignement en France Ă©tait en fait totalement centrĂ© sur deux matiĂšres les maths et l'anglais. Les diffĂ©rentes filiĂšres ou formations ne sont qu'une fine couche de peinture qui vient se greffer Ă  tout ça, et cette couche sera toujours mĂ©prisĂ©e et sous-coefficientĂ©e par rapport au reste. M'enfin c'est un autre dĂ©bat. Et voilĂ  que je suis par la suite tombĂ© dans un piĂšge similaire en candidatant pour le BTS SIO. Premier point les enseignements thĂ©oriques. MĂȘme si je suis restĂ© bon dernier j'ai pu avoir un tout petit peu moins de mal avec certains chapitres de maths parce que ce sont des maths plus appliquĂ©es aux domaines de l'informatique. Ensuite j'ai commencĂ© Ă  me frotter Ă  certaines notions en informatique, qui ont une logique qui lĂ  encore m'Ă©chappe complĂštement. Je pense par exemple au SQL pour ceux qui ne connaissent pas, un langage et une technologie de gestion de bases de donnĂ©es. Je ne comprends rien du tout aux requĂȘtes, c'est d'un flou absolu pour moi. Et je ne parle mĂȘme pas des modĂšles conceptuels de donnĂ©es ou autres joyeusetĂ©s. Je peux aussi parler de la programmation orientĂ©e objet au bout d'un an je sais Ă  peine coder une classe, c'pas mal, etc. Second point. Les enseignements de spĂ©cialitĂ© sont intĂ©gralement basĂ©s sur une chose les ENTREPRISES. Ça s'en ressent tout le temps et jusque dans les moindres confins de nos TP. Par exemple chaque exercice sur les bases de donnĂ©es sera centrĂ© autour d'une base "employĂ©s", chaque Ă©tude de cas se prĂ©sente sous la forme d'une entreprise pour laquelle il faut rĂ©aliser une mission... Et le plus gĂȘnant dans tout ça on t'impose de A Ă  Z comment faire les choses. En gros, si tu fais un programme, tu dois faire telle fonction de TELLE MANIÈRE et PAS autrement, parce que "oui c'est une convention, comme ça c'est plus facile Ă  maintenir par un autre dĂ©veloppeur de l'entreprise oĂč tu travailleras". Pour les connaisseurs, on est absolument obligĂ©s de n'utiliser QUE de l'orientĂ© objet, du MVC, etc etc... On est confinĂ© dans plein de façons de faire et autres standards spĂ©cifiques qu'on est obligĂ© d'utiliser. Ça vous paraĂźt sĂ»rement trĂšs cohĂ©rent, et si le but est juste de rĂ©aliser une prestation sans Ăąme pour une sociĂ©tĂ© je peux comprendre... Mais ça n'est pas du tout ce que je recherche... Au final je me retrouve dans l'impasse, avec de graves difficultĂ©s et aucune motivation pour remonter la pente ; bien que j'essaie sans cesse, sans grand succĂšs. Ces derniers temps j'y ai repensĂ© et je commence vraiment Ă  me demander c'est vraiment ce qui me correspond. Maintenant quand j'y pense je me dis que conserver l'informatique seulement en tant que loisir, en codant mes petits trucs comme je voulais dans mon coin, aurait Ă©tĂ© la voie Ă  suivre. Le BTS ce n'est plus l'Ă©cole mais c'est une formation professionnelle, oĂč on vous forme Ă  servir une entreprise et c'est encore + vrai pour ce BTS-ci, au point que j'avais lu que le programme a Ă©tĂ© pensĂ© par les entreprises justement et rien d'autre. Et ça je n'en ai rĂ©ellement pris conscience que tout je suis donc dernier de ma classe loin derriĂšre les autres dans les matiĂšres de spĂ©cialitĂ© dĂ©veloppement, idem en maths Ă©videmment... En fait la matiĂšre oĂč je m'en sors le plus c'est le français, et c'est d'ailleurs le seul cours que j'apprĂ©cie vraiment. Mon niveau en anglais aussi est pas ouf mais je commence petit Ă  petit Ă  remonter la pente, j'ai moins de difficultĂ©s dans les domaines littĂ©raires donc c'est autre chose. Et puis l'atmosphĂšre du cours est largement plus reste des matiĂšres j'aime vraiment pas et je me sens pas bien du tout pendant les cours Ă  cause de mes difficultĂ©s et de l'"atmosphĂšre" qui y rĂšgne. Genre je vois tout le monde ĂȘtre loin devant moi et moi ĂȘtre loin derriĂšre, et ça me rend trĂšs triste. Et y'a aussi le cĂŽtĂ© "mentalitĂ©", pour vous donner un exemple trĂšs concret le prof de maths qui rend les copies, ils ont tous eu entre 14 et 20 mais la moitiĂ© sont en mode "ah merde, j'ai ratĂ©", Ă  forcer comme des demeurĂ©s... Pendant que moi je suis lĂ  avec mon 3/20 et mon seum. Enfin bref y'a cette atmosphĂšre assez spĂ©cifique dans quelques matiĂšres, ça + ne jamais rien capter et toujours ĂȘtre le type qui a la pire note Ă  chaque DS... je supporte difficilement il faut bien le l'heure actuelle je ne sais vraiment plus quoi faire. J'ai la sensation d'avoir totalement ratĂ© mon parcours scolaire, d'avoir fait tous les mauvais choix possibles, et de ne plus pouvoir y faire grand chose. DĂšs que j'essaie de reprendre les notions je me noie aussitĂŽt, je ne comprends rien, j'ai l'impression d'atterir dans une autre dimension. Et le peu de progrĂšs que je peux faire est entĂąchĂ© par un considĂ©rable manque de motivation. Je commence sĂ©rieusement Ă  me demander si je suis vraiment Ă  ma place en BTS d'informatique ; si au final je ne ferais pas mieux de me rĂ©orienter vers une voie littĂ©raire. Puis bon mĂȘme si je voulais je ne peux pas le faire maintenant, c'est trop tard ; j'ai entamĂ© ma seconde annĂ©e et je pense pas que mes parents l'entendraient de cette voilĂ , je suis dans l'impasse la plus totale ; rongĂ© continuellement par le sentiment d'Ă©chec quand tu es le dernier partout et qu'en + tu as pas Ă©normĂ©ment de gens pour t'entourer, l'impact sur ta confiance en toi est assez monstrueux et n'arrivant pas Ă  changer le cours des choses et je suis absolument pas/plus motivĂ© de toute façon. Je ne sais pas ce que je devrais que vous me donneriez comme conseils ? Quelqu'un est-il dĂ©jĂ  passĂ© par lĂ  ? Qu'est-ce que je peux faire pour me sortir de cette situation ?Je vous remercie d'avoir pris le temps de me lire. Je suis dĂ©solĂ© d'avoir fait aussi long, c'Ă©tait difficile de synthĂ©siter davantage. J'attends vos rĂ©actions avec impatience ; je peux bien sĂ»r donner des prĂ©cisions sur mon parcours ou autre si nĂ©cessaire.
. 421 651 503 587 307 762 563 324

je ne me sens pas Ă  ma place