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La Gazette Memes Répliques Web Comics Le Conarticho Enchaîné Science Vous connaissez ma femme ? PierrePierre Chef Vous connaissez ma femme ? Pierres Oui, chef. Pierre Chef Elle est belle, hein ? Pierres Oui, chef. Reactions Posted bysyn 1663 Créateur & Maître de la Comté du Geek.
Vousaimez passionnément Ursule, voilà pourquoi vous êtes parfaitement en confiance avec elle, pourquoi vous lui trouvez, avec raison, la grâce et le charme qui attirent, tandis que vous me trouvez, moi, digne et imposante ; en un mot, vous l’aimez d’amour, et vous avez pour moi une franche et sincère amitié voilà la différence.
Lisez Chapitre 174-176 du roman Vous seul pouvez être ma femme gratuit en ligne. Abonnez-vous aux dernières mises à jour Lawrence…» Elle voulait qu'il ouvre la porte. Elle a été décontenancée quand elle a entendu les mots. "Quoi?" Lawrence Lu gloussa légèrement et se moqua de lui-même. Où? Que penses-tu de lui?" Siena Liang fronça les sourcils, "Qu'est-ce que tu dis de bêtises?" "Absurdité?" Il a ricané, Manger? Jouer du piano? Cousin?" Il tourna la tête et la regarda. Après avoir regardé pendant un moment, elle a continué à demander Je suis votre cousine? Hein?" Siena Liang pinça les lèvres, Je…» Elle serra le poing déprimée, sachant qu'à cause des paroles de Léo, je dois deviner qu'elle lui a menti hier. Bien qu'il sache qu'ils ne seront pas ensemble longtemps, il ne veut toujours pas qu'il se méprenne. Hier… juste à cause du travail… c'était juste un simple repas. Jouer du piano c'est… il se trouve qu'il sait que je l'ai déjà appris… »Ce qu'elle a dit et n'a rien dit, il le croyait sans raison qu'elle l'était. Mais l'irritabilité dans son cœur est restée inchangée, et sa voix est redevenue plus douce Et cousin? Comment expliquez-vous? Nous… Ne m'avez-vous pas promis que je vous présenterais quand je serais dehors? Et…» Et, dans votre situation actuelle, vous devez être avide de moi… »Avant qu'elle ait fini de parler, il a dit Quelle est ma situation maintenant? Savez-vous?" Il l'aime, il l'aime, elle sait? Je…» Il agita sa main et lui fit signe de ne plus dire, Poussez ce motif.» Siena Liang a été décontenancé, "Non!" "Non?" Il plissa les yeux et mâcha le mot Pourquoi? Non? Tu veux rester avec lui? Vous…» Je vous le dis! C'est absolument impossible! Siena Liang savait qu'il avait mal compris et dit avec anxiété Vous êtes trop arbitraire! Que fais-tu avec Leo? Rien! Et ce design est mon premier design, je ne peux pas le repousser! » Lawrence Lu fronça les sourcils, Puisque tu as dit que tout allait bien, qu'est-ce qui est dommage? Poussez-le! Je vais trouver autre chose pour vous! Hein?" Après avoir terminé, il était patient Ou bien, la famille Liang le fera aussi. Vous concevez simplement les vêtements et laissez-moi le reste, d'accord? "Non!" Elle a refusé sans réfléchir. C'est sa première création, et elle ne peut pas le faire selon ses souhaits. Mais cette réponse était dans ses oreilles, et cela signifiait qu'elle voulait toujours être avec lui. Vous…» Il a serré les dents et l'a étranglée à mort! Siena Liang pensait seulement qu'il était une explosion de chauvinisme masculin, avec un peu de réticence et d'accusation, a-t-il dit avec un peu de ressentiment J'ai dit que nous ne sommes que des relations ordinaires. Pouvez-vous garantir que tous vos futurs clients sont des hommes? Je… » Oui! » Avant qu'elle n'ait fini de parler, il a répondu sans réfléchir Si tu n'aimes pas ça, tu peux. …» Siena Liang fut surprise pendant un moment et se mit soudain à rire d'elle-même. En haut. Que signifie sa réponse? Lawrence Lu, ne plaisante pas, ne réponds pas si vite. Tu es comme ça… comme si tu m'aimais tellement. Pourquoi es-tu…» Je ne sais pas comment je t'aime». Quand il l'a dit, elle l'a entendue répéter D'abord, je ne vous demanderai pas de faire cela, et le travail ne devrait pas être ainsi. Deuxièmement, même si vous le feriez, je n'accepterai pas votre demande. " …» Vous savez que nous fabriquons des vêtements. Si nous le faisons bien, il est normal d'avoir une conférence sur l'habillement. Il est impossible de ne pas impliquer des modèles masculins ou similaires. Pour être large, cela impliquera plus. Groupe masculin. » Il fronça les sourcils mécontent. Faire des vêtements pour femmes ne suffit pas? Pourquoi devez-vous… » Non, ce n'est pas impossible. » Siena Liang a pris une inspiration Mais je veux être plus large et plus loin. Uniquement confiné dans un seul domaine, ce n'est pas le futur emploi que je souhaite. » …» Donc, je n'accepterai pas votre demande déraisonnable. Même si je… »Lawrence Lu était sur le point d'être en colère contre elle. Ha ha! Quand lui a-t-elle dit tant de choses d'une manière aussi simple auparavant? Elle en a tellement dit, n'est-elle pas juste réticente à l'accepter? La raison la plus directe pour ne pas être d'accord avec lui est qu'il veut continuer à voir ce fantôme Leo? L'irritabilité et la colère l'ont fait interrompre soudainement ce qu'elle disait Vous voulez dire que vous devez accepter ce travail, devez-vous y aller?» …» Il ricana Allez, non? Alors ne me blâmez pas d'avoir fait quoi que ce soit! Ses paroles étaient un peu cruelles, ce qui la fit trembler. Le regardant d'un air absent, elle ne put rien dire pendant un moment. Quand l'a-t-il traitée si férocement? Non. Est-ce parce que cette personne revient, alors sa patience avec elle est vraiment épuisée? Le chagrin dans son cœur la mettait tellement mal à l'aise qu'elle voulait pleurer, mais en fait, elle pleurait vraiment. Elle pressa ses lèvres fort, ne voulant pas se faire pleurer, mais ses larmes continuaient de couler comme une ficelle cassée. En voyant son air triste, son humeur devint plus irritable. Mais il la regarda simplement doucement et ricana doucement Pourquoi pleures-tu? Seriez-vous si triste si vous ne vous laissiez pas le voir? …» Je te le redis, demain, vas-y et je lui ai fait un boulot d'habillage.» La gorge de Siena Liang s'étranglait inconfortablement. Après plusieurs essais, elle secoua la tête et prononça un ton difficile Non…» Il plissa les yeux et dit légèrement C'est à vous! Dès qu'il eut fini de parler, il y réfléchit, puis dit Avez-vous faim? Allons-nous manger? N'aimons-nous pas manger au restaurant? Alors où voulez-vous aller? Hein?" …» En parlant, j'ai démarré la voiture directement. Yushixuan. Dans l'immense salle privée, sur la table à manger pouvant accueillir une vingtaine de personnes en même temps, toute une table est remplie de plats variés. Lawrence Lu s'assit à côté d'elle et mit toutes sortes de légumes dans son bol, qui formait une colline. Siena Liang arrêta de pleurer, mais il n'était pas d'humeur à manger quoi que ce soit, mais fixa son bol avec des pensées compliquées. Il fronça les sourcils et la regarda assise là sans bouger les baguettes. Il fit de son mieux pour endurer le malheur de son cœur, puis mit les légumes dans son bol. Il n'a pas poussé le bol jusqu'à ce qu'il n'y ait plus de piles. Arrivé devant elle. "Manger." …» Ou, tu n'aimes pas ça?» Il a demandé doucement Si nous ne l'aimons pas, nous pouvons changer autre chose?» …» Alors qu'est-ce que tu veux manger? Nourriture occidentale? Matériel? Ou autre chose?" …» Ensuite, nous retournons à la vieille maison pour manger? Vous connaissez également le savoir-faire de Zhang. …» Peu importe ce qu'il a demandé, elle est restée silencieuse et n'a rien dit. Lawrence Lu ferma les yeux et prit quelques respirations profondes, essayant de résister à l'envie de le gronder. Mais il a visiblement essayé tellement fort, ne pouvait toujours pas se retenir, a jeté les baguettes dans sa main sur la table avec un pop», il s'est levé et l'a regardée, et était sur le point de laisser échapper les mots, il était effrayé par le son tout à l'heure. Quand elle rétrécit, il se couvrit le visage de dépression et d'agacement. Après un long moment, il adoucit sa voix et dit doucement Je ne peux pas le manger, non?» …» Voulez-vous jouer du piano? Alors achetons-en un, d'accord? Chapitre 175 "Lequel veut-tu?" Lawrence Lu l'amena encore à l'endroit où le piano était vendu et tourna la tête pour lui demander son avis. …» Elle ne parla pas, se sentant mal à l'aise dans son cœur. "Je sais que ce ne sont pas bons, jetons un coup d'œil, demain j'irai en Allemagne pour commander le meilleur, d'accord?" Elle secoua la tête, mais elle pensait que je partirai bientôt. Pourquoi les achetez-vous toujours pour moi? Le responsable du côté a également déclaré à ce moment Nous avons toutes sortes de notes ici, que voulez-vous? Cela ne fonctionne vraiment pas, nous pouvons également laisser le siège le personnaliser en fonction de vos besoins. » "Ce n'est pas nécessaire. Siena Liang secoua la tête, leva légèrement la tête pour regarder Lawrence Lu, Allons-y, je n'en veux vraiment pas. …» Lawrence Lu fronça les sourcils, son irritabilité était sur le point de le rendre fou. "Allons-y." Après avoir parlé, elle le croisa directement et sortit de la porte. En la regardant dans le dos, Lawrence Lu s'est essuyé faiblement le visage, puis a dit au directeur sur le côté Choisissez le meilleur et le plus cher ici, et envoyez-le à la maison Nanhu n ° 19. Demain, je recevrai le chèque de Lu's. Après tout, il a suivi de près Siena Liang. Lorsqu'il s'est approché d'elle, il a levé la main pour vérifier l'heure, puis a dit doucement Il est encore tôt, allons voir autre chose. Comme il l'a dit, il a attrapé son poignet et est sorti. Elle va manger? Envie de jouer du piano? Ce n'est pas grave, il peut le lui donner. Quoi qu'il en soit, ce n'est pas sa cuisine maintenant, puisqu'elle aime ça, alors emmenez-la manger de différentes manières chaque jour. Qu'est-ce que Rio… il pourrait faire mieux que lui, plus qu'il ne lui a donné! Jusqu'à ce qu'il ait quitté la porte, Siena Liang a secoué sa main Je ne veux aller nulle part, je veux juste rentrer chez moi, je suis très fatigué. Oui, elle est très fatiguée et son cœur est très fatigué. Depuis avant-hier soir, elle ne s'est jamais sentie aussi bien. Avant-hier soir, elle pouvait encore se tromper, pensant qu'il était fatigué et blessé, son esprit est si délicat, elle doit s'inquiéter pour elle. Elle pensa que même si ce n'était pas comme ça, elle pourrait attendre patiemment. Mais après la situation de la nuit dernière, elle n'a même pas eu le courage de lui faire face. En le voyant, je craignais qu'il ne soulève soudainement le divorce pour lui-même. Dès que je l'ai vu, j'ai été choqué et effrayé, mais en même temps je lui ai rappelé une fois qu'ils se rencontreront, ils passeront moins de temps ensemble. Ce n'était pas qu'elle n'avait jamais pensé qu'être seule avec Leo l'affecterait gravement, mais elle n'avait pas le choix, et elle n'avait plus aucune pensée pour autre chose maintenant. Elle voulait juste utiliser son travail pour détourner son attention. Mais… c'est inutile du tout. Dans sa tête, il était rempli de tout. Et ce qui résonnait dans son esprit de temps en temps, c'était les mots qu'il lui demandait Veux-tu tomber amoureux», et la façon dont il hocha silencieusement la tête quand elle le lui demandait. Mais pourquoi fait-il ça maintenant? Compensation avant les adieux? C'est vrai, il a toujours été une personne généreuse. Après avoir vu leur confusion, ne lui a-t-il pas également donné deux millions? "Je ne veux pas?" Il baissa les yeux et soupira légèrement, Alors on peut revenir en arrière et acheter à nouveau demain?» Non…» Elle refusa, puis le regarda droit en serrant les poings. J'ai stabilisé mon esprit, puis j'ai lentement dit Lawrence Lu, ne me traite pas si bien, je ne pourrai pas le supporter. Je ne suis que ton amie, tu me traites bien, sais-tu que ça va me causer des ennuis Oui, c'est un problème, c'est un boulet de canon enrobé de sucre, qui l'a trop torturée. Quand Lawrence Lu a entendu les mots, son corps a été secoué de manière incontrôlable. Ses yeux s'écarquillèrent en un instant et la regarda avec panique, essayant de voir si elle plaisantait. Mais ce n'est pas. Vous voyez que son expression est si sérieuse, comment a-t-elle l'air de raconter une blague? Difficulté? Son cœur se serra petit à petit, toujours avec un goût amer. Ce sentiment le fit se sentir faible et douloureux. Il pensait qu'il devrait être bon avec elle et qu'elle devrait être très heureuse. Il s'est avéré que c'était aussi son vœu pieux… Sa gentillesse envers elle est devenue ses problèmes, alors elle ne voulait pas se voir et était si indifférente à elle-même? Après avoir attendu longtemps, il a repris conscience de l'humeur triste, a ouvert la bouche et a dit avec difficulté Liang… Siena Liang… Savez-vous de quoi vous parlez? "Je sais." Siena Liang sourit légèrement "Alors, ne sois pas gentil avec moi, mon ami." Vous ne me traitez que comme un ami, ne soyez pas gentil avec moi. …» Soudain, il ne pouvait plus parler, son cœur sembla s'arrêter de battre soudainement, et il sentit seulement que la respiration devenait difficile. Tu ne vas pas chez ton ami? Allez-y, je reviendrai en premier. Je…» Il voulait dire de la renvoyer, mais le téléphone sonna à ce moment. Il ne semblait pas non plus l'entendre, juste en la regardant droit. Bien que Siena Liang regardait le sol, il sentait toujours que deux yeux étaient étroitement liés. Elle regardait mal à l'aise, et elle a pointé son doigt dans la direction de la poche de son pantalon, "Votre téléphone sonne." Il hocha la tête, puis sortit le téléphone avec un mouvement raide, Hé, Xiaobai…» Je ne sais pas. Ce qui a été dit là -bas, il lui a jeté un coup d'œil et a répondu D'accord. Après avoir raccroché le téléphone et hésité un moment, il lui dit Xiaobai et d'autres… nous attendent toujours, allons-y ensemble. Droit?" Elle secoua la tête, Je… je n'y vais toujours pas, vas-y par toi-même. Après avoir parlé, elle a pincé les lèvres, "Alors ... je vais commencer." Lawrence Lu la regarda se retourner, réfléchissant beaucoup. Dis quelque chose, mais il ouvrit la bouche péniblement, mais il ne put émettre un seul son. Il voulait l'attraper telle ou telle chose, mais il ne semblait pas avoir la force de lever la main. Alors, il la regarda aller de plus en plus loin… Jusqu'à ce qu'elle ne puisse plus être vue, il cligna des yeux vigoureusement, puis ne put s'empêcher de rire. Il est la fierté du ciel depuis qu'il est enfant, veut-il quelque chose? Mais plus tard, quand il est tombé amoureux de quelqu'un par ignorance, il ne pensait plus que c'était le cas. Il a aimé une personne pendant douze ans, et rien ne s'est passé. Et maintenant, sa femme… Dans sa vie, il aime deux femmes, l'une comme son petit frère et l'autre comme son amie… Pensez-vous que Lawrence Lu a fait trop de mauvaises choses dans sa vie antérieure, alors face à l'amour, il Si impuissant et pathétique? Avec un sourire, il fit soudainement un regard aigu dans ses yeux. Ah! Est-ce juste un ami? Puis il l'a enfermée et lui a fait face tous les jours, est-ce qu'elle l'aimerait? En y réfléchissant, il décrocha le téléphone et composa un numéro- Hé, Li Song…» Chapitre 176 Pourquoi as-tu dormi dans la chambre privée réservée par Solan Bai et les autres? Lawrence Lu s'avança avec une expression malheureuse et s'assit sur le canapé le plus proche. Sheng Tianxing a appuyé sur le bouton pause du sélecteur de chanson et l'a salué dans le microphone Frère Axun, longtemps sans voir. Hein? Ma belle-sœur n'est pas venue? Il hocha légèrement la tête en direction de Sheng Tianxing Eh bien, Tianxing. Solan Bai jeta un coup d'œil à Brian Zheng qui était sur le côté, puis il prit deux verres de vin et s'assit à côté de Lawrence Lu, Hé! N'êtes-vous pas venu ici il y a longtemps? Comment venir?" Il a dit, il a regardé à nouveau. En regardant la direction de la porte de la chambre privée, N'avez-vous pas dit que vous vouliez amener des membres de votre famille? Gens?" Lawrence Lu a bu le vin en une gorgée, "Elle a quelque chose à faire, ne peut pas venir." Oh, c'est ça? Tian Xing a également dit de voir sa nouvelle épouse Eh bien! Votre petite belle-fille n'est vraiment pas assez intéressante. …» Brian Zheng est également passé à ce moment-là , Vous vous déplacez très vite. Je ne m'attendais pas à ce que ce soit si compliqué en quelques jours. Lawrence Lu savait qu'il faisait référence au côté de la famille Liang. Après avoir écouté, il a juste souri, ne voulant pas en dire plus. "Hé! J'ai trouvé que tu es de mauvaise humeur aujourd'hui! Solan Bai le regarda avec suspicion, "Qu'est-ce qu'il y a?" …» Brian Zheng avait déjà découvert qu'il n'avait pas tout à fait raison aujourd'hui. Il l'a ramassé quand il l'a vu. Il haussa les sourcils, changea la couleur de Solan Bai, et Solan Bai ouvrit à nouveau la bouche, Demandez-vous, quel est le problème?» Lawrence Lu prit directement le verre de vin dans la main de Solan Bai et le but. Venez, fatigué». Frère Axun, il est si heureux de vous voir aujourd'hui, allons-y un?» Sheng Tianxing sourit étrangement avec le vin. Lawrence Lu a souri et a pris l'un d'eux, "Bienvenue à nouveau en Chine, Tianxing." Il leva la tête et but le vin, et dit "Va jouer avec toi." Brian Zheng a pris une bouteille de vin et lui a tapoté l'épaule. , A déclaré Buvez moins, quelle qu'en soit la raison, l'alcool ne résoudra pas le problème.» Lawrence Lu hocha la tête Eh bien, les gars, allez jouer avec les vôtres, je vais rester un moment. Brian Zheng le regarda, puis échangea un clin d'œil avec Solan Bai, puis partit ensemble et trouva un siège un peu plus loin. Dans la salle privée, Brian Zheng et Solan Bai parlaient, et parfois ils émettaient un son clair de verre tapotant quand ils cliquetaient des verres. Sheng Tianxing a également chanté très haut seul, l'un après l'autre, comme s'il ne savait pas à quel point le style de musique a changé de diverses manières. La musique n'est pas forte, mais pas trop petite, mais Lawrence Lu semble être dans un espace vide, appuyé paresseusement sur le canapé, buvant moins d'alcool et fumant des cigarettes une par une. . Il fixa le téléphone qu'il frottait avec le téléphone jusqu'à ce que sa gorge soit un peu douloureuse. Il ouvrit l'écran et découvrit le numéro de téléphone de Siena Liang. Il a hésité à passer un appel et à lui demander si elle était à la maison. Mais presque aussitôt qu'il appuya sur son numéro, il raccrocha et ne put s'empêcher de rire de lui-même. C'est vraiment un salaud! Elle était visiblement tellement en colère qu'elle était à moitié morte, et elle se demandait si elle était rentrée chez elle. Solan Bai, qui était toujours attentif aux actions de Lawrence Lu, ne pouvait s'empêcher de dire à Brian Zheng à côté de lui Ce gamin Axun est vraiment étrange aujourd'hui. Vous regardez son air amer comme s'il souffrait d'une maladie en phase terminale. Brian Zheng a jeté un coup d'œil à Lawrence Lu, puis s'est retourné et a souri, a hoché la tête Eh bien, c'est peut-être une maladie en phase terminale. "Non?!" "Ouais." Brian Zheng hocha la tête J'ai une maladie d'amour en phase terminale. …» White Soudain, Ta sœur, peux-tu finir de parler d'un seul souffle?» Comme il l'a dit, Solan Bai a secoué la tête et a nié Non, vous ne savez pas à quel point il est gentil avec sa petite fille, il y a deux jours. petite belle-fille devrait être reconnaissante et heureuse, et les deux devraient pouvoir se quereller quand elles devraient être douces comme de la colle? Qui peut vous parler de vos sentiments?» Solan Bai Il regarda Brian Zheng avec mépris Hé! Comme si vous étiez si expérimenté. … Siena Liang est retournée à Nanhu, et elle l'avait tolérée jusqu'au bout. Une fois qu'elle est entrée dans sa chambre, elle ne pouvait plus y résister. Vivre, allongé sur le lit et pleurer. Craignant que sœur Hua n'entende le mouvement à ce moment-là , elle mordit la couette et pleura si fort qu'elle s'étrangla et trembla. Comment Lawrence Lu pouvait-il être si détestable et détestable? Quand elle était amie, elle voulait être si gentille avec elle, faisant un peu tomber son cœur, jour après jour. Quand elle ne pouvait pas s'en empêcher, elle a dit que la personne revenait et l'a chassée ... Cependant, elle ne voulait pas partir, elle ne voulait pas le quitter. Si… Si elle lui disait ça, il se moquerait d'elle, non? Eh bien, rire de son accablant, rire de son fantasque, rire de sa rêverie… Quand elle pense qu'elle partira d'ici et le quittera un jour dans un proche avenir, son cœur lui fait tellement mal qu'elle ne peut plus respirer, et ses larmes sont comme des robinets. Il a continué à couler sans fermer la vanne. Elle ne savait pas depuis combien de temps elle pleurait seule là -bas. Quand elle ne savait pas si elle pleurerait à mort, la belle-sœur Hua a frappé à la porte de la chambre, "Mme?" Siena Liang s'est figée et s'est allongée là . N'a pas bougé. La belle-sœur, qui était trop tard pour répondre, a demandé à nouveau Madame, vous dormez? Siena Liang essuya ses larmes avec sa corne sans discernement, puis s'assit et avala quelques bave. Puis il a répondu avec difficulté et doucement "Non ... quel est le problème?" Oh, quelqu'un a apporté le piano, je ne sais pas où le mettre. Madame, devriez-vous descendre et jeter un œil? Siena Liang a entendu les mots, Mon cœur s'est serré et il a été abasourdi pendant un moment avant de dire Euh… je sais.» En allant à la salle de bain et en lavant deux visages d'eau froide, j'ai senti mes yeux se sentir mieux avant de descendre. Madame, voyez-vous où vous voulez le mettre?» Dès qu'elle l'a vue descendre, Sœur Hua a répété. Siena Liang regarda le piano à queue pas trop gros, puis montra le balcon et dit à la personne qui avait donné le piano Mettez-le simplement là . Regarder ces gens le bouger attentivement Au piano, le cœur de Siena Liang ne pouvait s'empêcher d'éclats de douleur. Elle a clairement dit non, qu'achèterait-il d'autre? Est-ce vraiment un cadeau de rupture pour elle? Elle se tenait juste là et regardait. Quand ils ont mis le piano dans la position qu'elle avait dite, elle ne pouvait toujours pas se retenir et se dirigea vers le piano. Assise sur le banc de piano, elle ouvrit la couverture du piano et fit un poing. Ce n'est qu'alors qu'elle a tendu la main en tremblant pour toucher les touches. Madame, votre mari est vraiment gentil avec vous. Sœur Hua la regarda et dit avec un sourire. c'est bon? Siena Liang sourit sans dire un mot. Oui, il était très bon avec elle, si bon que son cœur bougeait, et c'était assez bon pour lui faire mal au cœur. De plus, elle était presque incapable de profiter de ce qu'il la traitait bien. Madame, êtes-vous de mauvaise humeur aujourd'hui? Je pense que tu as l'air malheureux. "Non." Oh…» Sœur Hua hocha la tête, C'est bien. Mais madame… »Elle a hésité un moment, puis a dit Bien que je sache, j'ai dit que ce sont des limites, mais… je pense que votre mari vous traite beaucoup. Vous vous souciez beaucoup de lui et vous vous souciez de lui, vous… pourquoi dormez-vous encore dans des pièces séparées? …» Siena Liang ne put s'empêcher de sourire amèrement après avoir entendu cela. Comment peuvent-ils dormir sur le même canapé dans une telle relation? Madame… Ai-je trop parlé?» "Non." Siena Liang secoua la tête Je vais sortir un moment. Dans un tel environnement, elle ne pouvait vraiment pas le supporter. Elle… veut sortir boire un verre avec Pian Pian. Avant de partir, elle a réfléchi un moment et a dit à la belle-sœur impatiente Si votre mari revient… vous dites simplement que je suis à la recherche de Wu Pianpian. Quand elle a quitté la porte, elle est allée directement à la porte de fer. En sortant le téléphone, il était prêt à appeler Pian Pian et à lui demander de sortir pour l'accompagner. Mais dès qu'elle est sortie de la porte de fer, une silhouette a jailli, tendant la main et lui bloquant le chemin Madame, M. Lu a dit, vous ne pouvez pas partir d'ici sans sa permission. Abonnez-vous aux dernières mises à jour
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Allez zou, voici mon histoire avec Chéri Commençons par le commencement. Je m'ennuyais un peu dans ma vie, mais ça je l'ai décris maintes fois... Mon métier et ma vie de famille ne me laissaient guère le temps de peindre et j'en étais frustrée. J'étais frustrée de bien d'autres choses aussi... Je m'étais achetée des toiles et des couleurs et m'apprêtais à reprendre quelque chose, puis le téléphone a sonné mon père allait mourir. J'ai reposé les pinceaux et n'y ai pas touché durant plus d'un an. Le lendemain, je prenais le train pour aller voir ma mère, et 3 jours après je m'inscrivais sur un forum d'artistes et non un sdr, mais la suite prouvera qu'on n'en était pas loin... Je m'y suis fait plein de copains-copines comme ici, des gens que j'ai bien sûr rencontrés et avc qui je suis restée amie. Et puis j'ai remarqué ce drôle d'énergumène qui écrivait fort bien, me faisait beaucoup rire et se querellait avec tout un tas d'intervenants, car il n'était vraiment pas doué pour le politiquement correct. Qui plus est, il était bon artiste, discret et modeste, alors que bon nombre se la pétaient en exhibant des horreurs... Son esprit frondeur me plaisait follement. J'avais rencontré Chéri. Nos discussions ont duré des mois, puis nous nous sommes rencontrés lors d'un vernissage. Il ne m'a pas plu, je ne le trouvais pas beau. J'étais tétanisée à vrai dire. Attirée aussi... J'ai voulu lui parler et je n'ai pas osé. Les mois ont à nouveau passé. Il avait quitté le forum, suite à une énième fâcherie avec le groupe, alors on s'est retrouvé sur un autre, plus confidentiel. Et puis en message privés. Je lui montrais mes peintures qui objectivement n'était pas terribles il me répondait sans concession, avec beaucoup de patience, m'expliquant ce que je devais tenter. Il était très mauvais pédagogue, mais je buvais ses écrits. C'était parole d'évangile. Puis un jour, tout de go, il m'a proposé de venir peindre quelques jours chez lui. J'ai hésité, troublée. Je ne savais pas si j'avais "le droit". Puis j'ai dit oui, après tout ça n'était qu'une rencontre de travail... Alors j'ai débarqué avec tout mon barda chez lui. Je l'ai trouvé... plus très jeune mais séduisant, chaleureux, avec un accent du sud. Il vivait dans des conditions plus que limite, dans un atelier faiblement éclairé par un vasistas, qui lui-même donnait sur une cour... Je n'avais jamais rencontré quelqu'un comme lui il semblait avoir une grande expérience de la vie, avait rencontré plein de gens, de toutes condtions. Moi j'étais la petite bourgeoise qui connaissait si peu de monde... Il était simple, attentif, cultivé, sensible. Je l'ai vu peindre et j'étais subjuguée. Il m'expliquait des choses et j'avais du mal à suivre, je ne comprenais pas bien. Je faisais, puis recommençais... Quelques jours ont passé et j'étais de plus en plus troublée, dans cette intimité avec un homme que je connaissais à peine. Je sentais qu'il pouvait se passer quelque chose d'important... ou pas. J'avais envie de faire des choses avec lui mais je n'osais pas faire un geste. Je ne savais que faire et n'avais aucune idée de ce qu'il pensait. Le dernier soir, il m'a invitée à prendre un verre. J'ai pensé que c'était maintenant ou jamais. Je lui ai fait remarquer innocemment oh non ! que lorsque nous parlions virtuellement, il me faisait des bises et que là ... rien ! Alors il m'a fait des baisers d'ami et puis... la suite est classée X, les amis, je ne vais pas vous la raconter, mais vous imaginez bien $🙂 Je suis repartie le lendemain comme prévu, et j'ai pleuré durant tout le trajet. Les jours suivants, il m'a envoyé des lettres déchirantes me disant à quel point il m'aimait. Là j'ai réalisé que quelque chose était vraiment arrivé, et à quel point je pouvais lui faire du mal, à lui, et à mon mari. La suite.... vous la connaissez. Cela fait maintenant 7 ans que je fréquente Chéri et je suis toujours amoureuse. J'aime sa tête de vieil Italien, ses cheveux et sa peau si douce. Son parfum. Objectivement, c'est un vieil qui râle contre la terre entière mais qui a un coeur énorme. Il m'horripile parfois, nous avons des disputes homériques mais je l'aime, je le lui dis et il me le dit aussi... Dans la rue, les gens nous appellent "les amoureux" et nous disent que nous sommes beaux. Voilà $🙂
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17 mars 2022 - MAJ 23/03/2022 1117 Drame Historique Romance Au commencement de L'Histoire de ma femme, un simple pari de Jakob Gijs Naber et son ami arnaqueur Kodor Sergio Rubini le grand capitaine au long cours néerlandais doit se marier avec la première femme qui entre dans le café dans lequel ils se trouvent. Ainsi, la vie de Jakob va radicalement basculer grâce à cette rencontre avec une certaine Lizzy Léa Seydoux belle et insaisissable. À partir de cet élément déclencheur aussi bateau que symbolique dans sa portée, la réalisatrice hongroise Ildikó Enyedi entame l’exploration romanesque d’un couple traversé par les tourments du temps, aux doutes sur les sentiments de l’autre et la perte de cet amour. Les gars veulent serrer des meufs, les meufs serrer des gars Dans son précédent long-métrage Corps et âme récompensé de l'Ours d'or au festival de Berlin en 2017, la réalisatrice hongroise s’était déjà penchée sur les problématiques du couple de manière étonnante dans une proposition fantastique remplie de mystère dans laquelle deux personnages se retrouvaient dans le même rêve. Dans le cas de L’histoire de ma femme, il s’agit de l’adaptation du roman éponyme de son compatriote Milán Füst faisant état d’une histoire d’amour épique traversée par le lyrisme et les tourments. Une base qu’a reprise la réalisatrice en exécutant un film-fleuve, focalisé sur l’inquiétude de ne pas être aimé de son protagoniste Jakob sans cesse dans l’incertitude. Car comme annoncé plus tôt, Jakob est un marin dont le sel de sa vie est le large et non pas la terre ferme et les dernières soirées mondaines. "J'écris mon amour." C’est le contrepoint de Lizzy, véritable femme de la ville qui profite des années folles du début du 20e siècle en appréciant l’effervescence des groupes de femmes et d’hommes distingués, en exemple la présence régulière de Dedin Louis Garrel également homme de la ville, bien loin des marasmes marins de Jakob. Ce travail au long cours sur la temporalité d’un amour a pour ambition d’apporter un regard contemporain sur la crainte de l’adultère du point de vue d’un homme et des conséquences machistes que cela implique sur sa femme. Jakob n’est que frayeur pendant que Lizzy reste un soleil stable de montagne agrémenté d’un froid mystérieux que justement son mari tente de comprendre durant presque trois heures de film. "Tu m'aimes mais je te fuis." Le temps de l'amour Disons-le tout de suite, il n’aura déjà échappé à personne lors de sa projection au Festival de Cannes 2021, la durée astronomique du film d’Enyedi 2h49. Ce parti pris de la durée étirée jusqu’à l’os ne joue effectivement pas en la faveur du long-métrage convoquant davantage l’ennui que l’enthousiasme au visionnage. Bien trop long, L’histoire de ma femme comporte dans sa majeure partie très peu de moments d’éclats et de frayeurs, plus proche de l’étude du couple que de la grande épopée. Toutefois, allons plus loin sur la question du temps qui a ici intéressé profondément la cinéaste hongroise. À défaut de jouer sur la virtuosité et le rythme, cette dernière pose une question simple et complexe à la fois comment filmer le temps de l’amour ? C'est le temps de l'amour, le temps des copains et de l'aventure De la même manière que Julie en 12 chapitres du réalisateur norvégien Joachim Trier, l’intrigue de L’Histoire de ma femme est découpée en sept chapitres marqués par l’apparition d’un carton sur l’image. Cette démarche plus littéraire ou du moins plus scénaristique que visuelle remplit la mission d’exécuter les ellipses temporelles de notre passion sentimentale et fragmente ainsi avec douceur les grandes étapes du couple. Cette simple inscription graphique s’associe dans le même temps au montage minimaliste optant pour une économie dans le découpage pour mieux profiter des plans souvent cadrés en plan large dans lequel l’œil du spectateur peut s’abandonner. Sauf que, de manière regrettable, cette grande proposition tombe dans la préciosité déconcertante et l’académisme forcené, ne répondant en conséquence pas entièrement à la problématique de la durée. "Tu veux faire quoi maintenant ?" Le temps c'est quand même de l'argent De la même manière, le soin de la fantastique direction artistique inhérente à L’Histoire de ma femme écrase in fine l’approche réflexive de cette étude du couple. Ce défaut fondamental s’incarne par une dimension picturale prégnante dans la composition des cadres plus proche de la préciosité culturelle que de la pure nécessité. Le film est comme une ravissante robe inaccessible que le commun des mortels ne peut évidemment pas s’offrir. Et le paradoxe est là puisque ce maniérisme agréable dans un premier temps, nous sort du film et dénature quelque peu des situations bien trop pauvres dans son apport épique. Attestant cela, les séquences de sexe, bien qu’elles soient tout de même assez crues, manquent cruellement de chair et d’incarnation véritable puisqu'à chaque fois notre œil est placé bien trop loin de l’action, ce qui n’aide pas à profiter de toutes leurs puissances. Quand tu regardes le film partir sans toi La conséquence est alors simple nous sommes souvent mis à distance de cette beauté tout autant que de l’énigme qu’incarne Lizzy pour Jakob. À la fin, on se pose même une question était-il utile de nous raconter, une nouvelle fois, l’histoire déchue d’un couple par le prisme d’une vision masculine ? D'autant plus que ce choix est désormais daté, voire désuet, au temps des grands changements contemporains sur les représentations des corps peints par la distinction entre le male gaze et le female gaze. Un choix encore plus surprenant et déconcertant avec la présence d'Ildiko Enyedi derrière la caméra. Alors tristement, comme l’histoire de Lizzy et Jakob n’a rien de spéciale et souffre de son ancrage bien trop datée des années 20, elle nous empêche cruellement de s'y attacher, nous laissant désespérement à quai. Résumé L'Histoire de ma femme patine dans sa durée qu'il porte comme un fardeau avec en plus de cela un personnage masculin fade et tout bonnement antipathique. Jamais convaincant dans son portrait de l'obsession amoureuse, le nouveau long-métrage de Ildikó Enyedi reste à terre au lieu de nous embarquer dans un grand voyage rythmé par les tempêtes et les fracas. Autre avis Alexandre Janowiak Ildiko Enyedi livre une grande fresque séduisante, ample et profonde sur l'amour et sa perversité avec L'Histoire de ma femme mais parvient rarement à passionner à cause d'un classicisme fatigant et d'une longueur excessive. Autre avis Simon Riaux Imprévisible et surréaliste, cette immersion dans un amour rêvé, raconté et fantasmé tient autant du baume que du venin. Long et fascinant, le film impressionne par l'intelligence et la délicatesse des sentiments qu'il évoque. Newsletter Ecranlarge Recevez chaque jour les news, critiques et dossiers essentiels d'Écran Large. Vous n'êtes pas d'accord avec nous ?Raison de plus pour vous abonner ! Je soutiens la liberté critique
Vousconnaissez ma femme ? Elle est belle hein Squalfunetmax. Description : Wé ptdr lolilol kikoolol ici c ma life é tou mé zami kwa ke jrespect tro
"- Ça va être tout noir !" Nom totalement improbable, répliques décalées et belle brochettes de stars Gérard Depardieu, Valérie Lemercier, Jean Rochefort..., RRRrrrr !!! sera rediffusée ce dimanche à 20h50 sur TFX. Cette comédie d'Alain Chabat et des Robins des Bois alias Marina Foïs, Jean-Paul Rouve, Pierre-François Martin Laval, Maurice Barthélémy et Elise Larnicol plonge au coeur de l'âge de pierre "Bonjour, Pierre!", pour suivre deux tribus qui se battent pour la recette du shampooing. Les "cheveux sales" d'un côté contre "les cheveux propres". Alors qu'une cheveux sales est partie espionner le clan rival, ce dernier est bouleversé par un meurtre, le premier de l'Histoire. Boudé à sa sortie, en 2004, RRRrrrr !!! a depuis obtenu le statut de film culte, notamment grâce à ses multiples rediffusions télévisées. Retour sur ses répliques qui ont fini par marquer l'histoire... de la comédie française. C’est quoi "l’humour Chabat" ? L'âge de pierre, une manne intarissable de jeux de mots RRRrrrr !!! a été imaginé par les Robins des Bois et Alain Chabat, puis ce dernier s'est chargé de la mise en scène, et cela se ressent à l'écran, le film étant un parfait mélange de leur humour à tous le goût pour les jeux de mots de Chabat côtoie celui de la répétition des Robins, le tout saupoudré d'une bonne dose d'absurde ! Dès le début, l'appel du chef Maurice Barthélémy, donne lieu à une scène savoureusement décalée, les scénaristes ayant eu l'excellente idée d'appeler tous les habitants du clan Pierre, les hommes comme les femmes "- Très bien, on va faire l'appel. Pierre ? - Présent. - Pierre ? - Présent. - Pierre ? - Présente. - Pierre ? - Présente. - Ah, Pierre ? - Présent. - Pierre ? ... Pierre... Évidemment encore absent celui là . J'imagine que Pierre n'est pas là non plus ! Comme par hasard, toujours ensemble ces deux là ." Pour les distinguer, les personnages importants sont tout de même définis par leur fonction le chef, la femme du chef Elise Larnicol, le guérissologue Alain Chabat ou encore "le blond" Jean-Paul Rouve, qui n'en peut plus de ce surnom "- Je suis pas blond, ok ? Je m'appelle Pierre. B-L-O-N-D !" Les animaux, sports et objets ont eux aussi droit à leurs noms rigolos les poulemouths côtoient des chevalmouths et mangent des vermouths, et quand ils s'ennuient les Pierre jouent au biche-volley ! La préhistoire est une source inépuisable de jeux de mots, comme celui-ci, parfait pour insister sur le fait que le duo composé de Pef et de Rouve passe son temps à glandouiller ''Vous avez vraiment la belle survie, vous deux !'' Le comique de répétition Dans leurs sketchs, les Robins des Bois prenaient un malin plaisir à étendre les situations au maximum et à répéter les mêmes gags en boucle ? On retrouve tout cela dans RRRrrrr !!!. A force d'être ainsi répétées, certaines répliques se sont sans surprises imprimées dans l'esprit des spectateurs... et dans le langage courant. Par exemple "- Vous connaissez ma femme ? - Oui, chef ! - Elle est belle, hein. - Oui, chef !" Ainsi que la célèbre rengaine de Pascal Vincent, alias le préveneur de nuit "- Ça va être tout noir ! - Ta gueule !" Les expressions détournées Autre tic d'écriture amusant les personnages de RRRrrrr !!! ne cessent de malmener la langue française, jouant avec les expressions ou les prenant au sens propre. Par exemple " - Poussez-vous, excusez-moi... poussez-vous, excusez-moi... poussez-moi, excusez-vous..." " - Guy, elle m'aime ! Je suis un couple, maintenant." Ou "La truite remonte le ruisseau... pas à pas." et "Là on est au sommet du gouffre." Pour conclure "C’est marrant ce que tu dis parce que c’est pas tellement marrant !" Mars Distribution L'enquête sur les premiers "crimes" de l'histoire de l'humanité RRRrrrr !!!, c'est aussi une enquête, qui joue aussi avec tous les codes du polar. Alors que les premiers assassinats sont commis au sein de la tribu, le chef du village tente de trouver le "crimier", le coupable de ces crimes horribles et non de meurtres, car il est très fier du terme "crime"!. L'assassin en question ne cache pas franchement ses méfaits, pourtant le mystère mettra un certain temps à être éclairci et sera là aussi un bon prétexte pour multiplier les répliques déjantées " - Mais jamais quelqu’un n’a tué un autre quelqu’un !" "Elle est morte de vieillesse... mais jeune." "- C’est quoi ton type de femme à toi ? - Vivante." "- Il était comment ?- Il était de Ok, arrêtez tous les hommes de dos que vous trouverez." Alain Chabat parle d’Astérix "Même si ça a l’air d’être le bordel, c’est quand même un peu précis" Bonus Ce n'est pas tout à fait une réplique, mais le film s'ouvre sur cette intro qui n'a aucun rapport avec la choucroute "Le 9 mai 1969, à deux kilomètres de la frontière nord du Laos, La 101ème Division d’Infanterie de l’armée américaine progresse vers la colline 937. Pour eux c’est une simple reconnaissance. Pour les Viêt-Cong, la colline 937 est une zone stratégique. La dizaine d’appelés de la 101ème Division, peu formée au combat, devait effectuer cette mission de routine en moins de deux heures. Ils résisteront héroïquement pendant neuf jours. Ce film ne raconte pas leur histoire." Un gag qui rappelle le ton du Grand détournement/La Classe américaine 1993, de Michel Hazanavicius, un gros délire dont Alain Chabat avait participé au doublage "Attention ! ce flim n'est pas un flim sur le "cyclimse". Merci de votre compréhension." La Tour Montparnasse infernale le best-of des scènes cultes du film d'Eric et Ramzy
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vous connaissez ma femme elle est belle hein