AchatEpson T7024XL Tour Eiffel - jaune - cartouche d'encre originale Pas Cher Bureau Vallée Prix Discount Garanti Retrait 2h en magasin
Sans remonter à la Tour de Babel, on peut observer que l’idée même de la construction d’une tour de très grande hauteur a depuis longtemps hanté l’imagination des hommes. Cette sorte de victoire sur cette terrible loi de la pesanteur qui attache l’homme au sol lui a toujours paru un symbole de la force et des difficultés vaincues. La Tour de 1000 pieds à l’Exposition universelle de Philadelphie. Sa hauteur comparée à celle des principaux monuments du monde Pour ne parler que des faits du XIXe siècle, qui vit éclore la Tour Eiffel, la Tour de mille pieds qui dépassait par sa hauteur le double de celle que les monuments les plus élevés construits jusqu’alors avaient permis d’atteindre, s’était posée dans l’esprit des ingénieurs anglais et américains comme un problème bien tentant à résoudre. L’emploi nouveau du métal dans la construction permettait d’ailleurs de l’aborder avec chance de succès. En effet les ressources de la maçonnerie, au point de vue de la construction d’un édifice très élevé, sont fort limitées. Dès que l’on aborde ces grandes hauteurs de mille pieds, les pressions deviennent tellement considérables que l’on se heurte à des impossibilités pratiques qui rejettent l’édifice projeté au rang des chimères irréalisables. Mais il n’en est pas de même avec l’emploi de la fonte, du fer ou de l’acier, que le XIXe siècle vit naître comme matériaux de constructions, et qui prit un développement si considérable. Les résistances de ces métaux se meuvent dans un champ beaucoup plus étendu, et leurs ressources sont toutes différentes. Aussi, dès la première apparition de leur emploi dans la construction, l’ingénieur anglais Trevithick, en 1833, proposa d’ériger une immense colonne en fonte ajourée de 1000 pieds de hauteur 304m80, ayant 30 mètres à la base et 3m60 au sommet. Mais ce projet fort peu étudié ne reçut aucun commencement d’exécution. La première étude sérieuse qui suivit eut lieu en 1874, à l’occasion de l’Exposition de Philadelphie. Il fut parlé plus que jamais de la Tour de mille pieds, dont le projet avait été établi par deux ingénieurs américains distingués, Clarke et Reeves. Elle était constituée par un cylindre en fer de 9 mètres de diamètre maintenu par des haubans métalliques disposés sur tout son pourtour et venant se rattacher à une base de 45 mètres de diamètre. Malgré le bruit fait autour de ce projet et le génie novateur du Nouveau-Monde, soit que la construction parût trop hardie, soit que les capitaux eussent manqué, on recula au dernier moment devant son exécution ; mais cette conception était déjà entrée dans le domaine de l’ingénieur. En 1881, Sébillot revint d’Amérique avec le dessin d’une Tour en fer de 300 mètres, surmontée d’un foyer électrique pour l’éclairage de Paris, projet sur le caractère pratique duquel il n’y a pas à insister. Bourdais et Sébillot reprirent en commun l’idée de cet édifice, mais leur Tour soleil était cette fois en maçonnerie. Ce projet soulevait de nombreuses objections qu’il est inutile de rappeler et qui s’appliquent à une construction quelconque de ce genre. Pour donner une idée des difficultés que présente, d’une manière générale, l’exécution d’une Tour en maçonnerie, on peut citer le grand obélisque en pierre connu sous le nom de Monument de Washington inauguré en 1885 et qui était à cette époque le plus haut monument du monde, entièrement en granit avec revêtement en marbre, d’une hauteur de 169m25, carré de haut en bas. Telle était la limite que même avec des matériaux de choix et une exécution particulièrement soignée, les ingénieurs américains, qui ne passaient pas pour manquer de hardiesse, n’avaient pas osé dépasser. Le premier projet, dont l’exécution avait été commencée en 1848, comportait une pyramide de 600 pieds, soit 183 mètres de hauteur, entourée d’un Panthéon avec une colonnade formant péristyle. Mais, quand en 1854 la pyramide fut arrivée à la hauteur de 46 mètres, on s’aperçut qu’elle s’inclinait d’une façon tellement inquiétante qu’on suspendit les travaux. Ils ne furent repris qu’en 1877 ; on réduisit de 100 pieds la hauteur que l’on avait assignée d’abord au monument, et on la fixa définitivement à 169 mètres, puis on reprit toute la fondation en sous-œuvre. On élargit considérablement la base en établissant au pourtour de nouveaux massifs de béton, descendus plus profondément. C’est seulement en 1880, qu’après de grandes difficultés vaincues, on reprit les travaux de la partie supérieure. Ils avancèrent depuis très régulièrement à raison de 30 mètres environ d’élévation par année, et l’ouvrage fut inauguré le 21 février 1885. Le Panthéon qui devait décorer l’édifice avait été ajourné, en raison de la dépense considérable qu’il devait entraîner. L’ensemble des recherches menées sur ce sujet par Eiffel, le conduisit à considérer comme réalisable à l’aide d’études approfondies, l’avant-projet que deux de ses plus distingués collaborateurs, Émile Nouguier et Maurice Kœchlin, ingénieurs, lui présentèrent pour l’édification en vue de l’Exposition de 1889 d’un grand pylône de 300 mètres. Cet avant-projet réalisait le problème de la Tour de 1000 pieds. La partie architecturale fut confiée à l’architecte Stephen Sauvestre. Alfred Picard, alors inspecteur général des Ponts et Chaussées, écrira plus tard que cet œuvre colossale devait constituer une éclatante manifestation de la puissance industrielle de notre pays, attester les immenses progrès réalisés dans l’art des constructions métalliques, célébrer l’essor inouï du génie civil au cours de ce siècle [XIXe], attirer de nombreux visiteurs et contribuer largement au succès des grandes assises pacifiques organisées pour le Centenaire de 1789. » Les ouvertures d’Eiffel reçurent un accueil favorable de l’Administration. Lorsque, à la date du 1er mai 1886, Édouard Lockroy, alors ministre du Commerce et de l’Industrie, arrêta le programme du concours pour l’Exposition de 1889, il y inséra l’article suivant Les concurrents devront étudier la possibilité d’élever sur le Champ de Mars une tour en fer à base carrée, de 125 mètres de côté à la base et de 300 mètres de hauteur. Ils feront figurer cette tour sur le plan du Champ de Mars, et, s’ils le jugent convenable, ils pourront présenter un autre plan sans ladite tour. » Le 12 mai était instituée une Commission pour l’étude et l’examen du projet. Le 15 juin, après avoir successivement examiné les projets présentés par Boucher, Bourdais, Henry, Marion, Pochet, Robert, Rouyer et Speyser, la Commission écarta plusieurs d’entre eux comme irréalisables, quelques autres comme insuffisamment étudiés, et finalement, sur proposition d’Alphand, directeur des travaux de la Ville de Paris, déclara à l’unanimité que la tour à édifier en vue de l’Exposition devait offrir un caractère déterminé, qu’elle devait apparaître comme un chef-d’œuvre original d’industrie métallique et que la tour Eiffel semblait seule répondre pleinement à ce but ». Sans parler des sceptiques mettant en doute la possibilité de mener à bien une œuvre si nouvelle et si gigantesque, on avait assisté à une véritable levée de boucliers de la part des artistes. Voici une lettre fort curieuse, au point de vue historique, adressée à Alphand vers le commencement de février 1887, et qui portait la signature des peintres, sculpteurs, architectes et écrivains les plus connus. Nous venons, écrivains, peintres, sculpteurs, architectes, amateurs passionnés de la beauté jusqu’ici intacte de Paris, protester de toutes nos forces, de toute notre indignation, au nom du goût français méconnu, au nom de l’art et de l’histoire français menacés, contre l’érection, en plein cœur de notre capitale, de l’inutile et monstrueuse tour Eiffel, que la malignité publique, souvent empreinte de bon sens et d’esprit de justice, a déjà baptisée du nom de Tour de Babel ». Sans tomber dans l’exaltation du chauvinisme, nous avons le droit de proclamer bien haut que Paris est la ville sans rivale dans le monde. Au-dessus de ses rues, de ses boulevards élargis, le long de ses quais admirables, du milieu de ses magnifiques promenades, surgissent les plus nobles monuments que le génie humain ait enfantés. L’âme de la France, créatrice de chefs-d’œuvre, resplendit parmi cette floraison auguste de pierres. L’Italie, l’Allemagne, les Flandres, si fières à juste titre de leur héritage artistique, ne possèdent rien qui soit comparable au nôtre, et de tous les coins de l’univers Paris attire les curiosités et les admirations. Allons-nous donc laisser profaner tout cela ? La ville de Paris va-t-elle donc s’associer plus longtemps aux baroques, aux mercantiles imaginations d’un constructeur de machines, pour s’enlaidir irréparablement et se déshonorer ? Car la Tour Eiffel, dont la commerciale Amérique elle-même ne voudrait pas, c’est, n’en doutez pas, le déshonneur de Paris. Chacun le sent, chacun le dit, chacun s’en afflige profondément, et nous ne sommes qu’un faible écho de l’opinion universelle, si légitimement alarmée. Enfin, lorsque les étrangers viendront visiter notre Exposition, ils s’écrieront, étonnés Quoi ? C’est cette horreur que les Français ont trouvée pour nous donner une idée de leur goût si fort vanté ? » Ils auront raison de se moquer de nous, parce que le Paris des gothiques sublimes, le Paris de Jean Goujon, de Germain Pilon, de Puget, de Rude, de Barye, etc., sera devenu le Paris de M. Eiffel. Il suffit d’ailleurs, pour se rendre compte de ce que nous avançons, de se figurer un instant une tour vertigineusement ridicule, dominant Paris, ainsi qu’une noire et gigantesque cheminée d’usine, écrasant de sa masse barbare Notre-Dame, la Sainte-Chapelle, la tour Saint-Jacques, le Louvre, le dôme des Invalides, l’Arc de Triomphe, tous nos monuments humiliés, toutes nos architectures rapetissées, qui disparaîtront dans ce rêve stupéfiant. Et pendant vingt ans, nous verrons s’allonger sur la ville entière, frémissante encore du génie de tant de siècles, nous verrons s’allonger comme une tache d’encre l’ombre odieuse de l’odieuse colonne de tôle boulonnée. C’est à vous qui aimez tant Paris, qui l’avez tant embelli, qui l’avez tant de fois protégé contre les dévastations administratives et le vandalisme des entreprises industrielles, qu’appartient l’honneur de le défendre une fois de plus. Nous nous en remettons à vous du soin de plaider la cause de Paris, sachant que vous y dépenserez toute l’énergie, toute l’éloquence, que doit inspirer à un artiste tel que vous l’amour de ce qui est beau, de ce qui est grand, de ce qui est juste. Et si notre cri d’alarme n’est pas entendu, si nos raisons ne sont pas écoutées, si Paris s’obstine dans l’idée de déshonorer Paris, nous aurons du moins, vous et nous, fait entendre une protestation qui honore. » Lockroy, qui, pour être ministre, n’avait rien perdu de son esprit si fin ni de sa verve si mordante, remit une réponse à Alphand, directeur des travaux Les journaux publient une soi-disant protestation à vous adressée par les artistes et les littérateurs français. Il s’agit de la Tour Eiffel, que vous avez contribué à placer dans l’enceinte de l’Exposition Universelle. A l’ampleur des périodes, à la beauté des métaphores, à l’atticisme d’un style délicat et précis, on devine, sans même regarder les signatures, que la protestation est due à la collaboration des écrivains et des poètes les plus célèbres de notre temps. Cette protestation est bien dure pour vous, Monsieur le Directeur des travaux. Elle ne l’est pas moins pour moi. Paris frémissant encore du génie de tant de siècles », dit-elle, et qui est une floraison auguste de pierres parmi lesquelles resplendit l’âme de la France », serait déshonoré si on élevait une tour dont la commerciale Amérique ne voudrait pas ». Cette main barbare », ajoute-t-elle dans le langage vivant et coloré qu’elle emploie, gâtera le Paris des gothiques sublimes », le Paris des Goujon, des Pilon, des Barye, et des Rude. Ce dernier passage vous frappera sans doute autant qu’il m’a frappé, car l’art et l’histoire français », comme dit la protestation, ne m’avaient point appris encore que les Pilon, les Barye, ou même les Rude, fussent des gothiques sublimes. Mais quand des artistes compétents affirment un fait de cette nature, nous n’avons qu’à nous incliner... Ne vous laissez donc pas impressionner par la forme qui est belle, et voyez les faits. La protestation manque d’à-propos. Vous ferez remarquer aux signataires qui vous l’apporteront que la construction de la Tour Eiffel est décidée depuis un an et que le chantier est ouvert depuis un mois. On pouvait protester en temps utile on ne l’a pas fait, et l’indignation qui honore » a le tort d’éclater juste trop tard. J’en suis profondément peiné. Ce n’est pas que je craigne pour Paris. Notre-Dame restera Notre-Dame et l’Arc de Triomphe restera l’Arc de Triomphe. Mais j’aurais pu sauver la seule partie de la grande ville qui fût sérieusement menacée cet incomparable carré de sable qu’on appelle le Champ de Mars, si digne d’inspirer les poètes et de séduire les paysagistes. Vous pouvez exprimer ce regret à ces Messieurs. Ne leur dites pas qu’il est pénible de ne voir attaquer l’Exposition que par ceux qui devraient la défendre ; qu’une protestation signée de noms si illustres aura du retentissement dans toute l’Europe et risquera de fournir un prétexte à certains étrangers pour ne point participer à nos fêtes ; qu’il est mauvais de chercher à ridiculiser une œuvre pacifique à laquelle la France s’attache avec d’autant plus d’ardeur, à l’heure présente, qu’elle se voit plus injustement suspectée au dehors. De si mesquines considérations touchent un ministre elles n’auraient point de valeur pour des esprits élevés que préoccupent avant tout les intérêts de l’art et l’amour du beau. Ce que je vous prie de faire, c’est de recevoir la protestation et de la garder. Elle devra figurer dans les vitrines de l’Exposition. Une si belle et si noble prose signée de noms connus dans le monde entier ne pourra manquer d’attirer la foule et, peut-être, de l’étonner. » Gustave Eiffel écrira plus tard que cette page bien française a dû étonner quelque peu les expéditionnaires du Ministère ; la correspondance administrative n’est malheureusement d’ordinaire ni si vive, ni si gaie, ni si spirituelle ; sa sévérité s’accommode mal à nos vieilles traditions gauloises. Si M. Lockroy pouvait faire école, l’exercice des fonctions publiques serait moins monotone et certainement mieux apprécié. Le Ministre avait su mettre les rieurs de son côté. Son procès était gagné. » Eiffel répondit à la pétition des artistes, dans un entretien avec Paul Bourde qui fut reproduit dans le journal Le Temps Quels sont les motifs que donnent les artistes pour protester contre l’érection de la Tour ? Qu’elle est inutile et monstrueuse ! Nous parlerons de l’utilité tout à l’heure. Ne nous occupons pour le moment que du mérite esthétique sur lequel les artistes sont plus particulièrement compétents. Je voudrais bien savoir sur quoi ils fondent leur jugement. Car, remarquez-le, Monsieur, cette Tour, personne ne l’a vue et personne, avant qu’elle ne soit construite, ne pourrait dire ce qu’elle sera. On ne la connaît jusqu’à présent que par un simple dessin géométral ; mais, quoiqu’il ait été tiré à des centaines de mille exemplaires, est-il permis d’apprécier avec compétence l’effet général artistique d’un monument d’après un simple dessin, quand ce monument sort tellement des dimensions déjà pratiquées et des formes déjà connues ? Et, si la Tour, quand elle sera construite, était regardée comme une chose belle et intéressante, les artistes ne regretteraient-ils pas d’être partis si vite et si légèrement en campagne ? Qu’ils attendent donc de l’avoir vue pour s’en faire une juste idée et pouvoir la juger. Je vous dirai toute ma pensée et toutes mes espérances. Je crois, pour ma part, que la Tour aura sa beauté propre. Parce que nous sommes des ingénieurs, croit-on donc que la beauté ne nous préoccupe pas dans nos constructions et qu’en même temps que nous faisons solide et durable, nous ne nous efforçons pas de faire élégant ? Est-ce que les véritables conditions de la force ne sont pas toujours conformes aux conditions secrètes de l’harmonie ? Le premier principe de l’esthétique architecturale est que les lignes essentielles d’un monument soient déterminées par la parfaite appropriation à sa destination. Or, de quelle condition ai-je eu, avant tout, à tenir compte dans la Tour ? De la résistance au vent. Eh bien ! je prétends que les courbes des quatre arêtes du monument telles que le calcul les a fournies, qui, partant d’un énorme et inusité empâtement à la base, vont en s’effilant jusqu’au sommet, donneront une grande impression de force et de beauté ; car elles traduiront aux yeux la hardiesse de la conception dans son ensemble, de même que les nombreux vides ménagés dans les éléments mêmes de la construction accuseront fortement le constant souci de ne pas livrer inutilement aux violences des ouragans, des surfaces dangereuses pour la stabilité de l’édifice. Il y a, du reste, dans le colossal une attraction, un charme propre, auxquels les théories d’art ordinaires ne sont guère applicables. Soutiendra-t-on que c’est par leur valeur artistique que les Pyramides ont si fortement frappé l’imagination des hommes ? Qu’est-ce autre chose, après tout, que des monticules artificiels ? Et pourtant, quel est le visiteur qui reste froid en leur présence ? Qui n’en est pas revenu rempli d’une irrésistible admiration ? Et quelle est la source de cette admiration, sinon l’immensité de l’effort et la grandeur du résultat ? La Tour sera le plus haut édifice qu’aient jamais élevé les hommes. Ne sera-t-elle donc pas grandiose aussi à sa façon ? Et pourquoi ce qui est admirable en Égypte deviendrait-il hideux et ridicule à Paris ? Je cherche et j’avoue que je ne trouve pas. La protestation dit que la Tour va écraser de sa grosse masse barbare Notre-Dame, la Sainte-Chapelle, la tour Saint-Jacques, le Louvre, le dôme des Invalides, l’Arc de Triomphe, tous nos monuments. Que de choses à la fois ! Cela fait sourire, vraiment. Quand on veut admirer Notre-Dame, on va la voir du parvis. En quoi du Champ de Mars la Tour gênera-t-elle le curieux placé sur le parvis Notre-Dame, qui ne la verra pas ? C’est d’ailleurs une des idées les plus fausses, quoique des plus répandues, même parmi les artistes, que celle qui consiste à croire qu’un édifice élevé écrase les constructions environnantes. Tour de 300 mètres projetéepour l’Exposition de 1889 Regardez si l’Opéra ne paraît pas plus écrasé par les maisons du voisinage, qu’il ne les écrase lui-même. Allez au rond-point de l’Étoile, et parce que l’Arc de Triomphe est grand, les maisons de la place ne vous en paraîtront pas plus petites. Au contraire, les maisons ont bien l’air d’avoir la hauteur qu’elles ont réellement, c’est-à-dire à peu près quinze mètres, et il faut un effort de l’esprit pour se persuader que l’Arc de Triomphe en mesure quarante-cinq, c’est-à-dire trois fois plus. Donc, pour ce qui est de l’effet artistique de la Tour, personne n’en peut juger à l’avance ; la grandeur de la base m’étonne moi-même, aujourd’hui que les fondations commencent à sortir de terre. Quant au préjudice qu’elle portera aux autres monuments de Paris, ce sont là des mots. Reste la question d’utilité. Ici, puisque nous quittons le domaine artistique, il me sera bien permis d’opposer à l’opinion des artistes, celle du public. Je ne crois point faire preuve de vanité en disant que jamais projet n’a été plus populaire ; j’ai tous les jours la preuve qu’il n’y a pas dans Paris de gens, si humbles qu’ils soient, qui ne le connaissent et ne s’y intéressent. A l’étranger même, quand il m’arrive de voyager, je suis étonné du retentissement qu’il a eu. Quant aux savants, les vrais juges de la question d’utilité, je puis dire qu’ils sont unanimes. Non seulement la Tour promet d’intéressantes observations pour l’astronomie, la météorologie et la physique, non seulement elle permettra en temps de guerre de tenir Paris constamment relié au reste de la France, mais elle sera en même temps la preuve éclatante des progrès réalisés en ce siècle par l’art des ingénieurs. C’est seulement à notre époque, en ces dernières années, que l’on pouvait dresser des calculs assez sûrs et travailler le fer avec assez de précision pour songer à une aussi gigantesque entreprise. N’est-ce rien pour la gloire de Paris que ce résumé de la science contemporaine soit érigé dans ses murs ? La protestation gratifie la Tour d’ odieuse colonne de tôle boulonnée ». Je n’ai point vu ce ton de dédain sans une certaine impression irritante. Il y a parmi les signataires des hommes qui ont toute mon admiration ; mais il y en a beaucoup d’autres qui ne sont connus que par des productions de l’art le plus inférieur ou par celles d’une littérature qui ne profite pas beaucoup au bon renom de notre pays. M. de Vogüé, dans un récent article de la Revue des Deux Mondes, après avoir constaté que dans n’importe quelle ville d’Europe où il passait, il entendait répéter les plus ineptes chansons alors à la mode dans nos cafés-concerts, se demandait si nous étions en train de devenir les Græculi du monde contemporain. Il me semble que n’eût-elle pas d’autre raison d’être que de montrer que nous ne sommes pas simplement le pays des amuseurs, mais aussi celui des ingénieurs et des constructeurs qu’on appelle de toutes les régions du monde pour édifier les ponts, les viaducs, les gares et les grands monuments de l’industrie moderne, la Tour Eiffel mériterait d’être traitée avec considération. » Les objections les plus fréquemment mises en avant étaient que la construction elle-même était impossible, que jamais on ne pourrait lui donner une résistance capable de s’opposer à la violence du vent ; que même y arrivât-on sur le papier, on ne trouverait pas d’ouvriers capables de travailler à cette hauteur, les difficultés devant être encore aggravées par les énormes oscillations que prendrait cette colossale tige de fer sous l’effet des vents. Mais Eiffel, ayant bien davantage à lutter contre cette objection sans cesse renaissante de l’inutilité de la Tour qui était la tarte à la crème courante, ne cessait de répéter Connue du monde entier, la Tour a frappé l’imagination de tous en leur inspirant le désir de visiter les merveilles de l’Exposition, et il est indiscutable qu’elle a excité un intérêt et une curiosité universels. Étant la plus saisissante manifestation de l’art des constructions métalliques par lesquelles nos ingénieurs se sont illustrés en Europe, elle est une des formes les plus frappantes de notre génie national moderne. En dehors de ces premiers résultats, dont l’importance matérielle et morale est capitale dans la circonstance, il n’est pas douteux que les visiteurs qui seront transportés au sommet de la Tour auront un vif plaisir à contempler sans danger et d’une plate-forme solide, le magnifique panorama qui les entourera. A leurs pieds, ils verront la grande ville avec ses innombrables monuments, ses avenues, ses clochers et ses dômes, la Seine qui l’entoure comme un long ruban d’argent ; plus loin, les collines qui lui forment une ceinture verdoyante, et par-dessus ces collines, un immense horizon d’une étendue de 180 kilomètres. On aura autour de soi un site d’une beauté incomparable et nouvelle, devant lequel chacun sera vivement impressionné par le sentiment des grandeurs et des beautés de la nature, en même temps que par la puissance de l’effort humain. Ces spectacles ne sont-ils pas de ceux qui élèvent l’âme ? La Tour aura en outre des applications très variées, soit au point de vue de notre défense nationale, soit dans le domaine de la science. » Max de Nansouty appuyait dès 1889 ce point de vue, écrivant dans son Historique et description de la Tour Eiffel de 300 mètres En cas de guerre ou de siège, on pourrait, du haut de la Tour, observer les mouvements de l’ennemi dans un rayon de plus de 70 kilomètres, et cela par-dessus les hauteurs qui entourent Paris, et sur lesquelles sont construits nos nouveaux forts de défense. Si l’on eût possédé la Tour pendant le siège de Paris en 1870, avec les foyers électriques intenses dont elle sera munie, qui sait si les chances de la lutte n’eussent pas été profondément modifiées ? Vue générale de l’exposition universelle de Paris, 1889 La Tour serait la communication constante et facile entre Paris et la province à l’aide de la télégraphie optique, dont les procédés ont atteint une si remarquable perfection. » Eiffel avançait en outre d’autres avantages de sa Tour Elle est elle-même à une distance telle des forts de défense qu’elle est absolument hors de portée des batteries de l’ennemi. Elle sera, enfin, un observatoire météorologique merveilleux, dans lequel on pourra étudier utilement, au point de vue de l’hygiène et de la science, la direction et la violence des courants atmosphériques, l’état et la composition chimique de l’atmosphère, son électrisation, son hygrométrie, la variation de température à diverses hauteurs, etc. Comme observations astronomiques, la pureté de l’air à cette grande hauteur et l’absence des brumes basses qui recouvrent le plus souvent l’horizon de Paris, permettront de faire un grand nombre d’observations d’astronomie physique, souvent impossibles dans notre région. Il faut encore y ajouter l’étude de la chute des corps dans l’air, la résistance de l’air sous différentes vitesses, l’étude de la compression des gaz ou des vapeurs sous la pression d’un immense manomètre à mercure de 400 atmosphères, et toute une série d’expériences physiologiques du plus haut intérêt. Ce sera donc pour tous un observatoire et un laboratoire tels qu’il n’en aura jamais été mis d’analogue à la disposition de la science. C’est la raison pour laquelle, dès le premier jour, tous nos savants m’ont encouragé par leurs plus hautes sympathies. » Quant au choix de l’emplacement de la Tour, Alfred Picard l’évoquait dans son Rapport général. De graves objections étaient faites au choix du Champ de Mars. Était-il rationnel de construire la Tour dans le fond de la vallée de la Seine ? Ne valait-il pas mieux la placer sur un point élevé, sur une éminence, qui lui servirait en quelque sorte de piédestal et en augmenterait le relief ? Ce gigantesque pylône n’allait-il pas écraser les palais du Champ de Mars ? Convenait-il d’édifier un monument définitif dans l’emplacement où seraient sans aucun doute organisées les expositions futures, de s’astreindre ainsi à le faire nécessairement entrer dans le cadre de ces expositions, alors que la nouveauté des installations est l’un des éléments essentiels, sinon l’élément primordial du succès ? Mais en éloignant la Tour, on eût tout à la fois compromis le succès financier de l’entreprise et perdu une forte part du bénéfice qu’elle devait apporter à l’Exposition de 1889. Il ne restait donc à choisir qu’entre le Champ de Mars et la place du Trocadéro. L’adoption de ce dernier emplacement n’eût fait gagner qu’une hauteur de 25 mètres environ, chiffre bien minime relativement aux 300 mètres de la Tour ; elle aurait donné lieu aux plus sérieuses difficultés pour l’assiette des fondations sur un sol profondément excavé par les anciennes carrières de Paris ; enfin le contact immédiat du monument avec le palais du Trocadéro eût certainement produit un effet désastreux. Il fallut accepter le Champ de Mars. Du reste, à côté de ses inconvénients, cette solution avait de réels avantages ; elle permettait notamment d’utiliser la Tour comme entrée monumentale de l’Exposition, en face du pont d’Iéna, d’éviter par suite la construction d’une entrée spéciale et de réaliser de ce chef une grosse économie. Les plus célèbres parmi les signataires de la protestation relatée plus haut, s’empressèrent, une fois l’œuvre achevée et consacrée par le succès, de témoigner à Eiffel leur regret d’avoir cédé aux importunités de ceux qui colportaient ce ridicule factum » et d’y avoir donné leur signature.
Latour Eiffel n’offre pas de gratuité aux porteurs de la carte enseignant. Dans le cas d’une sortie scolaire, le tarif groupe scolaire est accessible à l’avance avec réservation de date et d’horaire de visite sur notre site de billetterie professionnelle, selon les disponibilités. Le tarif groupe scolaire vous fait bénéficier d
À quelle distance de la Tour Eiffel cette photo a-t-elle été prise ? Les motivations Voici un petit exemple d’illustration du théorème de Thalès qu’il est possible d’exploiter en quatrième et en troisième bientôt seulement en troisième avec les programmes de 2016 ! . Le théorème de Thalès est intimement lié à la notion d’agrandissement/réduction. Cette photo en est une illustration. La modélisation géométrique et les données de départ On peut faire l’hypothèse que la main et la tour Eiffel sont placées de manière parallèle. O désigne l’objectif de l’appareil photo [MA] la main grande ouverte [TF] la tour Eiffel On suppose que O, M et F ainsi que O, A et T sont alignés On suppose aussi que MA//TF Les conditions d’usage du théorème de Thalès sont donc bien réunies. Enfin une recherche sur internet nous apprend que la Tour Eiffel mesure 324 m avec l’antenne. Une main ouverte d’adulte mesure environ 20 cm et la longueur d’un bras semi-tendu presque 45 cm. Les calculs et le résultat On peut donc enfin écrire les trois quotients égaux issus du théorème de Thalès Soit On sait que deux fractions sont égales si et seulement si les produits en croix sont égaux. Nous serions donc environ à 729 m de la Tour Eiffel sur cette photo ! Remarquons enfin que dans le résultat final, la hauteur de la Tour Eiffel est multiplié par le coefficient ce qui permet d’étudier les effets des variations de mesures anthropométriques sur le résultat final. Par exemple un bras de 43 cm et une main de 17 cm donne 820 m. On obtient donc un ordre de grandeur du résultat très sensible aux données de départ. Vérifications On reconnaît l’esplanade du Palais de Chaillot. Avec Google Map et Géogebra on arrive à une distance à plat sur la carte d’environ 700 m. D’aucun objecteront que le plan Google ne tient pas compte de l’altitude de la colline de Chaillot où se trouve le palais. Cependant avec ses 60 m de haut, et un peu d’aide du théorème de Pythagore on arrive à … ce qui ne change pas grand chose ! Quelques photos supplémentaires Internet regorge de jeux de perspectives, voilà une petite sélection ! Enfin, on peut même la faire disparaître… TourEiffel Paris – Tout Ce dont Vous avez Besoin pour réaliser Juste avant Votre transfert personnel – Informations et faits accrocheurs phase de dessin de la tour eiffel au moyen de la phase – Hľadať Googlom Comment Attirer une phase de Tour Eiffel à la suite de l’étape, comprendre le dessin au moyen de cette ligne directrice pour les enfants et les adultes. Dessin Nouvelle rubrique sérieuse » en arts visuels…je vous proposerai des fiches de préparation et des activités…sur le modèle présenté ci-dessous. Ce sont des séances menées en classe. Pour ma part, j’utiliserai la fiche artiste d’Orphys pour les élèves et la fiche d’identité à afficher dans la classe dans mon panneau News of the week . Les fiches sont à télécharger sur les blogs que j’ai mis en lien…Lutin Bazar, Loustics, La classe de Define, Luccia MONDRIAN Voici la première fiche de préparation de séquence sur Piet Mondrian que je viens partager avec vous.. Elle fait suite à l’article de Charivari qui présente l’activité ici et qui vous donne le nom de tous les blogs qui proposent des ressources sur cet artiste. SEURAT / Pointillisme Voici l’activité sur le pointillisme menée à la suite de l’article proposé par Mallory ici. MONET les Nymphéas Voici un très beau projet mené par ma marraine Béameline... Ces petits élèves ont réalisé de magnifiques compositions en peinture et en volume….des fleurs sur un nénuphar. Je vous laisse les découvrir en cliquant ici... En attendant, voici la fiche de prep que Béa a eu la gentillesse de nous partager ici et la fiche artiste… la fiche à la manière d’Orphys est en préparation, le temps de lui envoyer pour son approbation.. et vous la retrouverez chez lui. KANDINSKY composition VIII sur galets fête des pères 2013 NATASHA WESCOAT la tour Eiffel * * * * * * * * * * * * LE MAIL ART le projet clic Article en construction – A venir la prog des papillons → si vous souhaitez partager d’autres activités/idées, n’hésitez pas à me demander la trame et apporter votre p’tite contribution ici. J’essaierai de les coupler avec les fiches d’artistes des différents eklaprofs voir le répertoire inversé de Gandalf

Étape1 : Commencez avec la ficelle derrière vos pouces et vos auriculaires, en traversant les deux paumes. Étape 2 : Avec votre main droite, tendez la main vers la main gauche et accrochez la ficelle qui traverse la paume gauche. Étape 3 : Écartez vos mains. Étape 4: Faire la même chose avec l’autre main.

Un enseignant Bienvenue sur l'espace dédié aux enseignants Vous trouverez ci-après toutes les informations et contacts utiles pour organiser vos visites à la tour Eiffel. Achetez les billets en ligne, à l'avance En tant qu'enseignant, vous souhaitez pouvoir programmer vos visites à l'avance. Notre site de billetterie dédié aux établissements scolaires vous permet d'acheter des billets avec réservation de date et heure de visite en bénéficiant des conditions groupe scolaire. Les conditions groupe scolaire sont uniquement accessibles lors d'un achat en ligne pour un accès ascenseur et pour les comptes établissements scolaires autorisés Une attestation du chef d’établissement sera requise. Conditions Générales de Vente et Règlement de visite. L'achat de billets à l'avance est dédié aux visites avec un accès ascenseur. Nous vous invitons à faire une demande d’ouverture de compte de votre école par votre chef d'établissement sur notre site de billetterie afin de pouvoir, une fois votre compte validé, acheter vos billets horodatés pour vos groupes scolaires, en fonction de nos disponibilités. A noter les billets escaliers s'achètent uniquement en caisses du Monument au tarif individuel pour un usage immédiat, en présence de votre groupe. Les tarifs L’accès à la billetterie billets ascenseur nécessite une demande de création de compte et signature d’un contrat ; L’accès au tarif groupe scolaire est soumis à la disponibilité en ligne et présentation d’une attestation du chef d’établissement scolaire Tarif Adulte Tarif Groupe scolaire 12-24 ansà partir de 10 élèves 1 Tarif Groupe scolaire jusqu’à 11 ansà partir de 10 élèves 2 Billet 2ème étage par ascenseur 17,10€ 8,60€ 4,30€ Billet Sommet par ascenseurs 26,80€ 13,40€ 6,70€ Toute l'année Billet 2ème étage par ascenseur Tarif Adulte 17,10€ Tarif Groupe scolaire 12-24 ansà partir de 10 élèves 1 8,60€ Tarif Groupe scolaire jusqu’à 11 ansà partir de 10 élèves 2 4,30€ Toute l'année Billet Sommet par ascenseurs Tarif Adulte 26,80€ Tarif Groupe scolaire 12-24 ansà partir de 10 élèves 1 13,40€ Tarif Groupe scolaire jusqu’à 11 ansà partir de 10 élèves 2 6,70€ 1 Groupe scolaire 12-24 ans 1 gratuité tous les 10 billets achetés. La présentation d’un justificatif d’âge peut être demandée. 2 Groupe scolaire jusqu’à 11 ans 1 gratuité tous les 7 billets achetés. La présentation d’un justificatif d’âge peut être demandée. Tarif Adulte Tarif Jeune 12-24 ans 1 Tarif Enfant de 4 à 11 ans 1 Tarif Petit Enfant moins de 4 ans 1 Billet 2ème étage par escaliers 10,70€ 5,40€ 2,70€ Gratuit Billet Sommet par escaliers puis ascenseur 20,40€ 10,20€ 5,10€ Gratuit Toute l'année Billet 2ème étage par escaliers Tarif Adulte 10,70€ Tarif Jeune 1 12-24 ans 5,40€ Tarif Enfant de 4 à 11 ans 2,70€ Tarif Petit Enfant moins de 4 ans 1 Gratuit Toute l'année Billet Sommet par escaliers puis ascenseur Tarif Adulte 20,40€ Tarif Jeune 1 12-24 ans 10,20€ Tarif Enfant de 4 à 11 ans 5,10€ Tarif Petit Enfant moins de 4 ans 1 Gratuit L’accès à la visite par escalier ne fait pas l’objet d’une réservation préalable tarif d'accès par escalier. Les billets sont délivrés directement aux caisses du monument pour une utilisation immédiate. 1 La présentation d’un justificatif d’âge peut être demandée. 2 Tarif Petit Enfant La présentation d’un justificatif d’âge peut être demandée. Les enfants de moins de 4 ans doivent être en possession d’un billet à titre gratuit. Leurs accompagnateurs paient le tarif individuel adulte. ATTENTION L’accès au Sommet et l’accès par escaliers ne sont pas accessibles aux personnes à mobilité réduite. Calculez le prix de votre visite avec notre outil de simulation d'achat Services complémentaires Bon à savoir La tour Eiffel ne propose pas d’espace pour pique-niquer. En cas de petite faim, vous pourrez vouas restaurer aux buffets, bars et restaurants à tous les niveaux et pour tous les budgets ! Une quantité raisonnable de boisson et de nourriture est autorisée laissé à l’appréciation des agents d’accueil mais nous attirons votre attention sur le fait que les bouteilles en verre, cannettes en métal et les couverts couteaux, fourchettes, cuillères sont interdits dans l’enceinte du monument. Nous vous recommandons de consulter notre règlement de visite afin de prendre connaissances des objets interdits. La vente à emporter Pour une pause gourmande et rapide, dirigez-vous vers le point de restauration à emporter sur le parvis. Un large choix de plats salés et sucrés, accompagnés d’une boisson fraîche ou chaude vous est proposé. Idéal pour ne rien manquer de l’expérience tour Eiffel, dégustez un repas sur le pouce lorsque vous le souhaitez, tout en profitant d’une vue inégalée sur Paris ! Les buffets Les buffets vous proposent un moment de détente à tout moment de votre visite, au 2ème, 1er et sur le parvis et viendront parfaire votre visite. Dans des lieux spacieux et confortables, divers points restauration sont disponibles avec un vaste choix de plats savoureux salés ou sucrés qui satisferont petits et grands ! Les boutiques Tout au long de votre visite, retrouvez de nombreuses boutiques et offrez-vous un objet d’exception sur le thème de Paris et la tour Eiffel. Parfait pour garder en mémoire votre journée exceptionnelle passée aux côtés de la Dame de Fer ! Des boutiques de souvenir se trouvent du parvis au 2ème étage, ne manquez pas la plus grande au 1er, dans le pavillon Ferrié. Le parcours de visite Il y a 2 entrées pour accéder au parvis de la tour Eiffel les entrées 1 SUD et 2 EST, qui vous permettent de traverser et découvrir les jardins réaménagés. Un premier contrôle de sécurité est effectué à cette entrée. Astuce privilégiez l’entrée 2 EST dans les jardins, le plus souvent moins fréquentée, pour gagner du temps ! Pour monter en ascenseur, après le contrôle de sécurité, dirigez-vous avec votre groupe vers les piliers EST ou OUEST. Le groupe devra être muni de ses billets imprimés lisiblement 1 billet par page sur format A4, comportant le code-barres complet non réduit. Présentez-vous à l'accueil visiteurs avec billets », files dotées d’un drapeau vert, au plus tard à l'heure indiquée sur le billet pour accéder au contrôle des billets d'accès. L'accès se fait dans l’ordre d'arrivée des visiteurs en possession d'un billet pour le créneau horaire en cours. De par la structure de la tour Eiffel, les visites doivent commencer par l'étage le plus élevé. Lors de la descente, nous vous recommandons de visiter les étages inférieurs, vous faisant bénéficier de contenus historiques et culturels sur notre Monument. Le 1er étage notamment vous permettra de faire découvrir notre plancher de verre, le parcours pour les enfants "Tour Eiffel Kids" ainsi que le parcours muséographique et une grande boutique. Des fiches pour toutes les matières et toutes les classes du primaire. Cette base documentaire comporte une notice historique ainsi que des exercices appliqués à la tour Eiffel et à son univers la vie et l’œuvre de Gustave Eiffel, les Expositions Universelles, la construction du monument, la Tour et la naissance des télécommunications, la Tour et les artistes.... Les exercices proposés dans les fiches pédagogiques sont adaptés aux matières étudiées à l’école élémentaire Français / Mathématiques / Histoire et géographie Téléchargez les fiches pédagogiques
Lesexpositions universelles sont organisées depuis 1851, dans le but de promouvoir les progrès technologiques au service de l’humanité. Aujourd’hui, 170 pays sont membres du Bureau ⚠ Attention, ne faites jamais de figure en mettant votre ficelle autour du cou, cela peut être très dangereux! ⚠ J’ai réalisé un défi d’une semaine pour faire 7 figures Ztringz, en apprenant une figure par jour. J’ai beaucoup aimé ce jeu de ficelle, une fois que l’on a compris la base il devient plus simple de réaliser de nouvelle figures. Si tu n’as pas encore de ficelle Ztringz tu peux l’acheter en cliquant ici ! Voici donc les 7 tutos vidéos pour apprendre des figures Ztringz facilement. Le parachute Ztringz L’échelle Ztringz Papillon Ztringz Poisson Ztringz Tour Eiffel Ztringz Filet de pêche Ztringz Etoile Ztringz Tu peux aussi apprendre à réaliser la fleur, que j’avais faite dans un précédent article, juste ici ! Si toi aussi tu as fait des modèles avec ce jeu de ficelle Ztringz, n’hésites pas à me partager les photos de tes réalisations sur Instagram, avec le manzabull Uneréplique miniature de la tour Eiffel peut être utilisée comme arme contondante. C’est ce que deux policiers ont appris à leurs dépens ce mardi soir, après que le vendeur à la sauvette

Forum Futura-Sciences les forums de la science MATIERE Physique Fréquence de résonance d'une tour  Répondre à la discussion Affichage des résultats 1 à 26 sur 26 26/02/2011, 15h34 1 xem Fréquence de résonance d'une tour - Bonjour, Je souhaite déterminer expérimentalement la fréquence de résonance d'une tour soumise à des rafales de vent. J'ai donc effectué la manipulation suivante matériel -tour dimensions approximatives section carrée de côté 10cm, hauteur 1m de squelette léger en k-nex habillée de papier pour la rendre sensible aux rafales d'air. -ventilateur -cache entre la tour et le ventilateur mis en mouvement successivement pour simuler des rafales J'ai donc aligné la tour, le cache et le ventilateur distance tour-ventilo d'environ 120 cm. Je n'ai pas eu de problème pour trouver une disposition de la tour et du ventilateur telle que la tour ne tombe pas sous le simple effet de l'air soufflé par le ventilateur et qu'elle tombe sous l'effet de rafales d'air. Mais problème pour déterminer la fréquence de résonance au début de la résonance, les mouvements effectués avec le cache du ventilo doivent être rapides, tandis qu'à la fin de la résonance, les mouvements doivent être espacés de plus longs intervalles de temps. Cela s'explique par le fait que plus la tour balance/oscille, plus elle met du temps pour revenir vers sa position d'équilibre initiale. Ma question est donc puisqu'on doit faire varier la fréquence des mouvements du cache pour que la tour bascule littéralement, la fréquence de résonance de la tour serait-elle non constante ? cela me paraîtrait bisard tout de même Merci d'avance pour réponses. - 26/02/2011, 17h34 2 Jeanpaul Re Fréquence de résonance d'une tour Quand on parle de fréquence propre d'une tour, on suppose qu'elle est sérieusement ancrée au sol, ce qui exclut le mouvement de basculement d'ensemble. Sinon, ce balancement vient polluer le mouvement. 26/02/2011, 20h12 3 xem Re Fréquence de résonance d'une tour Merci de m'avoir éclairci. Donc si j'ai bien compris, en modélisation réelle tour gratte-ciel par exemple, si la tour entre en résonance, au bout d'un moment elle va en quelque sorte se casser en deux ? 26/02/2011, 21h32 4 chwebij Re Fréquence de résonance d'une tour bonjour le plus dangeureux pour une tour n'est pas l'effet de résonance mais une instabilité qu'on nomme instabilité galop. AH NON! au moment où la petite flûte allait répondre aux cordes. Vous êtes ODIEUX!! Aujourd'hui A voir en vidéo sur Futura 27/02/2011, 07h16 5 Jeanpaul Re Fréquence de résonance d'une tour Envoyé par xem Merci de m'avoir éclairci. Donc si j'ai bien compris, en modélisation réelle tour gratte-ciel par exemple, si la tour entre en résonance, au bout d'un moment elle va en quelque sorte se casser en deux ? Il faut voir comment elle est bâtie et s'il y a des points faibles prônes à la fatigue des matériaux. Un trop grand balancement serait très désagréable pour les occupants. Il faut voir aussi comment la forme interagit avec le vent. C'est comme ça que le célèbre pont du Tacoma a cassé. 27/02/2011, 07h40 6 xem Re Fréquence de résonance d'une tour Envoyé par chwebij bonjour le plus dangeureux pour une tour n'est pas l'effet de résonance mais une instabilité qu'on nomme instabilité galop. J'ai fait une recherche google mais je n'ai rien trouvé sur cette "instabilité galop". Pourriez-vous m'expliquez ce que c'est ? Merci 27/02/2011, 16h23 7 Jeanpaul Re Fréquence de résonance d'une tour Par exemple C'est comme un drapeau au vent même constant il faseille en créant ses propres instabilités. C'est le pont de Tacoma aussi. Ce sont souvent les mouvements de torsion qui sont en cause car ça crée une aile d'avion à incidence variable. 05/03/2011, 02h32 8 Jaunin Animateur Technologies et Bricolage Re Fréquence de résonance d'une tour Bonjour, Pour ce genre de représentation avec des maquettes, ne devrait-on pas d'abord passer par des calculs de similitudes, en fonction des échelles de la tour que devrait représenter la force du vent, etc. C'est ce qui se fait dans l'industrie. Cordialement. Jaunin__ 12/03/2011, 19h12 9 xem Re Fréquence de résonance d'une tour Bonjour, Mon objectif est en fait d'établir un système anti-résonance sur la maquette du type pendule amortisseur de masse, comme sur le tour taipei 101 et d'établir des modèles mathématiques à partir des différentes mesures; modèles que j'étendrai à une tour davantage grandeur nature à l'aide d'une simulation probablement informatique. Pour ce qui est du passage par des calculs de similitude, je ne peux pas vraiment me le permettre étant donné que l'éventail de puissances et fréquences du ventilo pour obtenir une chute de la tour et ce en affaiblissant légèrement deux des quatre pieds pour la rendre suffisamment vulnérable est très restreint. Autrement dit je galère déjà assez pour arriver à obtenir un cédage de la tour appréciable, alors je ne vais pour l'instant pas m'encombrer de calculs de similitudes. Mais j'apprécie tout de même l'information, merci. Jeanpaul merci pour le lien, j'étais en fait tombé dessus en faisant une recherche google, mais étant pressé j'ai cru qu'il ne contiendrait rien d'appréciable sur cet effet galop. Je l'étudie de plus près. Cordialement. Dernière modification par xem ; 12/03/2011 à 19h15. 12/03/2011, 19h44 10 SaxEric Re Fréquence de résonance d'une tour Envoyé par Jeanpaul Quand on parle de fréquence propre d'une tour, on suppose qu'elle est sérieusement ancrée au sol, ce qui exclut le mouvement de basculement d'ensemble. Sinon, ce balancement vient polluer le mouvement. Je n'ai pas de notions particulières de génie civil mais il me semble que notamment pour des raisons sismiques d'actualité non ? on construit plutôt les tours sur des embases relativement souples pour amortir les secousses ? D'autre part, xem, quand tu parles de "fréquences propres de la tour soumise au vent", les fréquences propres sont indépendantes de l'excitation, puisqu'elles sont propres à la structure. Le problème est quand l'excitation est en phase avec elles. Donc tu n'as pas besoin de ton ventilateur pour déterminer les fréquence propres, mais bien pour créer une excitation forcée. 13/03/2011, 07h17 11 xem Re Fréquence de résonance d'une tour J'ai justement besoin du ventilateur pour déterminer la fréquence propre, puisque c'est lorsque la tour oscille de plus en plus que les rafales d'air soufflées par le ventilateur sont à la même fréquence que la fréquence propre de la tour Une mesure de la fréquence des rafales d'air à ce moment-là est donc une mesure de la fréquence propre de la tour. D'autre part, SaxEric tu n'as pas tort pour l'activité sismique mais je me concentre pour l'instant sur le seul effet du vent, en supposant que la tour est bien ancrée dans le sol. 13/03/2011, 19h37 12 Jaunin Animateur Technologies et Bricolage Re Fréquence de résonance d'une tour Bonjour, Xem, Pour information, avez-vous fait une recherche sur l'"Ocean Tower" et un lien qui peut vous aider. Cordialement. Jaunin__ 20/03/2011, 22h29 13 xem Re Fréquence de résonance d'une tour Merci Jaunin pour ce lien qui me semble très adapté à mon étude. Je m'y remet activement dans quelques semaines. 11/05/2011, 14h41 14 xem Re Fréquence de résonance d'une tour J'ai étudié le document du lien de Jaunin , qui contient pas mal de points intéressants. Il reste cependant une petite confusion dans mon esprit à la page numérotée 62 du document "a. Amortisseurs passifs - Amortisseur de masse réglé Tuned mass damper", il est écrit à propos de l'amortisseur de masse accordée "Cette masse oscille à la même fréquence que la structure mais une phase pas devant". La masse est-elle en oscillation de façon permanente ie en oscillation forcée, excitée par une source extérieure autre que le mouvement de la tour ou bien son mouvement est-il seulement dû au mouvement de la tour qui oscille à cause du vent ? Merci d'avance pour votre aide. 11/05/2011, 17h13 15 Jeanpaul Re Fréquence de résonance d'une tour Cette masse suspendue est un batteur, donc purement passif il faudrait vraiment beaucoup d'énergie pour la mettre en mouvement et ça ferait bouger la tour. Le calcul montre qu'au voisinage de la résonance, l'énergie de vibration de la tour passe dans la masse et dans son amortisseur. Ce système était employé dans la suspension de la 2 CV Citroën qui n'avait pas d'amortisseurs, mais juste 4 cylindres dans lesquels bougeait une masse de fréquence accordée. 11/05/2011, 17h52 16 xem Re Fréquence de résonance d'une tour Merci pour cette précision. J'ai installé horizontalement au sommet de ma maquette un ressort d'environ 7 cm relié à un petit wagonnet sur rail qui peut donc osciller avec de faibles frottements sur lequel je peux rajouter des masselottes. Le système "tour + amortisseur" sans masse ajoutée a une masse valant M=489g. Cette maquette est une tour en k-nex habillée en papier pour qu'elle soit sensible au vent de hauteur 112cm et de base rectangulaire 15x10cm. L'amortisseur occupe à peu près toute la surface du sommet et mesure environ 100g. La tour mesure environ 389g J'ai effectué différentes mesures de période propre moyenne du système par des rafales d'air en faisant varier la masse de l'amortisseur -Pour Mtotale=Mtour=489g, la période propre est de T= -Pour Mtotale=Mtour+20g=509g, T= -Pour Mtotale=Mtour+50g=539g, T= -Pour Mtotale=Mtour+100g=589g, T= -Pour Mtotale=Mtour+200g=689g, T= Pourtant l'amortisseur ne semble pas vraiment faire une grosse différence au niveau des oscillations de la tour et de leur amplitude face à une rafale d'air, et ne semble pas rendre le système plus stable. Qu'en pensez-vous? Comment pourrais-je rendre efficace l'amortisseur? 11/05/2011, 18h57 17 Jaunin Animateur Technologies et Bricolage Re Fréquence de résonance d'une tour Bonjour, Xem, Je ne comprends pas très bien comment est fixé votre système amortisseur à votre tour. Auriez-vous un croquis ou une photo. Cordialement. Jaunin__ 11/05/2011, 19h10 18 xem Re Fréquence de résonance d'une tour Bonjour Jaunin, J'ai joint deux photos - la tour avec son amortisseur, vue de dessus - un gros plan sur le ressort de l'amortisseur Ca devrait être plus clair, Cordialement. 12/05/2011, 16h22 19 xem Re Fréquence de résonance d'une tour Quelqu'un a une idée pour rendre efficace ce système? Merci de votre aide. 12/05/2011, 17h51 20 Jaunin Animateur Technologies et Bricolage Re Fréquence de résonance d'une tour Bonjour, Xem, Je me demande si le fait que votre masse sur ses rails soit "trop libre" je cherche aussi ? Si on prend en exemple Taipei 101, la tour à un poids propre de 700'000 [T], le balancier et a environ aux 4/5 de la hauteur avec un poids de 800 [T] et amorti que 30 à 40%% des mouvements dans tous les sens. Effectivement si quelqu'un à un autre point de vu. Cordialement. Jaunin__ 12/05/2011, 18h38 21 xem Re Fréquence de résonance d'une tour Qu'entendez-vous par "trop libre" ? De mon point de vue, je la trouve moins libre que le pendule de taipei 101 puisque celui-ci peut se mouvoir dans toutes les directions. Même si ça paraît évident, je précise que lorsque j'envoie des rafales d'air, je les envoie dans l'axe du ressort et que la plupart du temps, le mouvement de translation oscillant de la tour a lieu selon l'axe du ressort il a parfois lieu perpendiculairement à son axe, comme indiqué dans le document du lien, mais c'est beaucoup plus rare Donc pour la plupart des réponses de la tour, le problème peut être considéré comme unidirectionnel. 12/05/2011, 19h20 22 xem Re Fréquence de résonance d'une tour Je viens de tester différentes manip sur la tour en fait, lorsque je l'excite manuellement c'est-à-dire lorsque je la tire d'un coup avec ma main, d'une amplitude de 10 cm environ puis que je l'abandonne à son mouvement oscillant, je constate une différence lorsque je laisse l'amortisseur et lorsque j'enlève celui-ci en m'arrangeant pour que la tour ait sensiblement la même masse; donc quand j'enlève l'amortisseur je laisse au sommet de la tour les masses qui étaient sur l'amortisseur juste avant. L'amortisseur semble donc être assez efficace, bien qu'il n'absorbe pas toute l'énergie. Je pense que les mouvements d'air que je produisais n'étaient pas assez nets/francs et surtout trop aléatoires, tout comme la réponse de la tour d'ailleurs; c'est surement pourquoi en l'excitant manuellement j'observe quelque chose de bien plus appréciable quant à l'amortisseur. 12/05/2011, 19h28 23 Re Fréquence de résonance d'une tour Bonjour Xem, Jaunin et Jeanpaul, Xem as-tu vérifié que la fréquence propre du système wagon + ressort était égale à celle du système global tour + batteur ? Le batteur est-il amorti ? Il me semble à vue de pif que la fréquence propre du batteur est trop élevée le ressort me parait bien raide... et que l'amortissement est minime. Pour vérifier tout cela, tire sur le wagon pour l'éloigner de sa position d'équilibre et regarde - quelle est sa période d'oscillation ? - combien de va-et-viens il effectue avant de s'arrêter ? Un batteur bien conçu doit avoir une période d'oscillation égale à celle du système complet, et ne pas effectuer plus de 2 périodes complètes quand on le sollicite seul critère complètement arbitraire, dans le cas d'un amortissement dit "critique" il ne doit même pas effectuer une seule période complète. 12/05/2011, 21h24 24 xem Re Fréquence de résonance d'une tour Bonjour Phuphus, Ce que tu appelles le batteur c'est bien l'ensemble "wagon + ressort" l'amortisseur en gros ? J'ai effectué quelques mesures de périodes propres moyenne du système "wagon+ressort" isolé, démonté de la tour -"wagon seul + ressort" T= une dizaine de va-et-vient. -"wagon + masse de 100g" T= 2 gros va-et-vient suivi d'un minime va-et-vient. -"wagon + masse de 200g" T= 2 va-et-vient. Donc d'après les mesures de périodes propres du système "tour+wagon+ressort" que j'affiche dans un de mes derniers post, la période propre du système "tour+amortisseur" vaut environ le double du système "wagon+ressort" quelle que soit la masse ajoutée. On peut donc en déduire que c'est le ressort qui doit être changé Un ressort de plus faible raideur donc. Je m'y remet demain en faisant des mesures avec d'autres ressorts. En tout cas merci à tous pour votre aide ; 13/05/2011, 22h20 25 xem Re Fréquence de résonance d'une tour Bonjour tout le monde, J'ai réussi à obtenir un amortissement relativement bon en utilisant un ressort de plus faible raideur. J'ai mis une photo en fichier joint, accompagné d'un compte rendu de la manip. J'ai une question concernant le document du lien de Jaunin Il y est stipulé que " La masse de l’amortisseur doit représenter, pour des bâtiments hauts comme l’Ural Tower, environ 0,25%-1,5% de la masse correspondante au mode fondamental de la tour car c’est ce mode qu’on va chercher à atténuer en priorité puisque c’est celui qui produit les déplacements les plus importants. " D'où vient ce ? Comment obtenir ce résultat ? Merci pour vos réponses. 05/02/2012, 22h22 26 pierrebernard Re Fréquence de résonance d'une tour bonjour chers collegues, vous avez surmenent terminé vos années de prepq, je suis parti sur le meme sujet que vous cette année. est il possible de vous joindre? Sur le même sujet Fuseau horaire GMT +1. Il est actuellement 10h30.

. 720 323 69 760 151 584 436 255

comment faire une tour eiffel en papier