Deplus en plus de cas de piqûres sauvages sont recensées dans les bars, concerts et boîtes de nuit dans le Rhône et la Loire. C’est pourquoi, un appel à la prudence est nécessaire. Ce phénomène est de plus en plus fréquent depuis le début du mois d’avril. Des personnes piqueraient les clients de boîtes de nuit, bars et dans les
Passer au contenu AccueilÉconomieSantéCulturePolitiqueSportsFaits diversDécouvrir le VarAgendaA propos Piqûres en boîte de nuit Actu ou Fake News ? Accueil » Piqûres en boîte de nuit Actu ou Fake News ? Piqûres en boîte de nuit Actu ou Fake News ? Depuis le mois de février 2022, plusieurs personnes ont affirmé avoir été piquées en boîte de nuit, provoquant des malaises chez certaines victimes. Après la crise du Covid qui a coûté cher à toutes les discothèques, ces rumeurs sont un nouveau coup dur. Nos contenus vous plaisent ? Soutenez notre duo de journalistes passionnés en regardant une courte publicité ! Illustration – Crédit photo Pixabay Depuis mars 2022, une actualité affole les jeunes. Une centaine de personnes, hommes et femmes, racontent avoir été piqués lors de soirées en discothèques en France. Actu ou Fake News ? Il est difficile pour le moment d’y répondre. A noter que des faits similaires de piqûres sauvages » avaient créé une psychose, fin 2021 dans plusieurs régions d’Angleterre… Plusieurs victimes françaises ont, à ce jour, porté plainte et des enquêtes sont en cours. Pour les boîtes de nuit, longtemps resté fermé à cause de la pandémie du Covid-19, il s’agit d’un nouveau coup dur. Un entrepreneur nous a confié » Le Covid a été difficile. Aujourd’hui, se sont des rumeurs de piqures qui nous font du mal. » D’après lui, les empoissonnements au GHB arrivent malheureusement souvent dans les discothèques du monde entier. Notre service de sécurité est régulièrement sensibilisé. Nous avons renforcé à l’accueil depuis plusieurs mois, nous avons mis en place des protections pour les verres pour lutter contre ce phénomène. Aujourd’hui, on parle d’empoisonnement au GHB et non pas de piqure. L’amalgame a été fait ». Alice, 26 ans, fréquente au moins une fois par semaine les discothèques J’y suis tous les week-end. Je n’ai rien vu de mes propres yeux. En attendant, j’entends la même rumeur toutes les semaines avec le même nombre de cas. Tant que je n’ai rien vu personnellement, je n’y crois pas » Amandine, jeune fêtarde de 20 ans fait son analyse En sortant de soirée, j’ai vu des pompiers. Quand j’ai vu les informations, j’ai fait inconsciemment le lien. Mais quand on sait le nombre de fois où les pompiers interviennent en boîte, ça m’étonnerait que ce soit pour cette raison » témoigne-t-elle. Var actu2022-04-27T160635+0200 Partager cet article sur votre réseau social ! Articles similaires AccueilÉconomieSantéCulturePolitiqueSportsFaits diversDécouvrir le VarAgendaA propos Page load link Nous utilisons des cookies sur notre site Web pour vous offrir l'expérience la plus pertinente en mémorisant vos préférences et vos visites répétées. En cliquant sur "Accepter tout", vous consentez à l'utilisation de TOUS les cookies. Utilisez "Paramètres cookies" pour définir un consentement personnalisé. Confidentialité Ce site Web utilise des cookies pour améliorer votre expérience lorsque vous naviguez sur le site Web. Parmi ceux-ci, les cookies classés comme nécessaires sont stockés sur votre navigateur car ils sont essentiels au fonctionnement des fonctionnalités de base du site Web. Nous utilisons également des cookies tiers qui nous aident à analyser et à comprendre comment vous utilisez ce site Web. Ces cookies ne seront stockés dans votre navigateur qu'avec votre consentement. Vous avez également la possibilité de désactiver ces cookies. Mais la désactivation de certains de ces cookies peut affecter votre expérience de navigation. Les cookies fonctionnels aident à exécuter certaines fonctionnalités telles que le partage du contenu du site Web sur les plateformes de médias sociaux, la collecte de commentaires et d'autres fonctionnalités tierces. Les cookies de performance sont utilisés pour comprendre et analyser les indices de performance clés du site Web, ce qui contribue à offrir une meilleure expérience utilisateur aux visiteurs. Les cookies analytiques sont utilisés pour comprendre comment les visiteurs interagissent avec le site Web. Ces cookies aident à fournir des informations sur les métriques du nombre de visiteurs, du taux de rebond, de la source du trafic, etc. Les cookies publicitaires sont utilisés pour fournir aux visiteurs des publicités et des campagnes marketing pertinentes. Ces cookies suivent les visiteurs sur les sites Web et collectent des informations pour fournir des publicités personnalisées. Les autres cookies non classés sont ceux qui sont en cours d'analyse et qui n'ont pas encore été classés dans une catégorie. Les cookies nécessaires sont absolument essentiels au bon fonctionnement du site Web. Ces cookies assurent les fonctionnalités de base et les éléments de sécurité du site Web, de manière anonyme. Aller en haut
Eneffet, nous avons préparé les solutions de Word Lanes Personnes qui fréquentent les boîtes de nuit. Ce jeu est développé par Fanatee Games, contient plein de niveaux. C’est la tant attendue version Française du jeu. On doit trouver des mots et les placer sur la grille des mots croisés, les mots sont à trouver à partir de leurs définitions. Nous avons trouvé les réponses à ce
Hespress Monde mardi 12 mai 2020 - 1048 Après une soudaine augmentation du nombre de cas porteurs du coronavirus en Corée du sud, les autorités ont fait usage des données de téléphones portables afin de retrouver les personnes ayant fréquenté les boîtes de nuit de Séoul où est apparu un foyer de contamination. Ces boites de nuit souvent fréquentées par la communauté homosexuelle en Corée du Sud, localisées à Itaewon, un des quartiers branchés de Séoul, auraient été le foyer principal de contamination selon les Séoul. Mardi, 27 nouveaux cas ont été recensés en Corée du Sud portant à le nombre des personnes positives au coronavirus et, ils étaient 101 cas étaient liés au foyer de contamination situé à Itaewon, selon le maire de la capitale, Park Won-soon. Les autorités sud-coréennes ont eu recours à cette méthode de traçage car ces boites de nuit sont souvent fréquentées par la communauté homosexuelle qui préférerait garder l’anonymat dans ce pays conservateur. Les autorités ont garanti l’anonymat aux personnes se présentant pour se faire dépister mais beaucoup hésitent encore. Ils sont près de personnes à avoir fréquenté ce quartier au cours des deux dernières semaines et à avoir fait le test, a déclaré le maire. Ce dernier a ajouté que ceux qui tenteraient d’éviter les tests s’exposeraient à une amende de deux millions de won euros. La ville a obtenu une liste de personnes qui ont fréquenté ce quartier grâce aux données des téléphones portables fournies par les opérateurs. Ces personnes ont toutes reçu un SMS les invitant à aller de faire dépister. Mais sur ces personnes ayant fréquenté ces boites de nuits, restent injoignables, selon le siège de l’organisme sud-coréen chargé de la gestion des catastrophes qui a annoncé que des milliers de policiers seraient déployés afin de les retrouver. Boite de nuit Corée du Sud Coronavirus Données téléphoniques Opérateurs télécoms Séoul Suivez les dernières actualités de Hespress sur Google News Newsletter Abonnez-vous pour recevoir les dernières nouvelles
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